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Читать книгу: «Le pacte des vierges», страница 3

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« Merde, Jane, commença-t-il. Tu as été fantastique. »

Agenouillée devant lui, je me sentais petite. Bien que je susse que je l’avais contenté, j’avais peur de ne pas pouvoir être comparée aux autres femmes et à leur expérience.

« - Vous dites ça juste pour me…

- Non, c’est faux. » Il secoua la tête, et son regard ne quitta pas le mien un seul instant. « Tu as suivi mes instructions, et… tu as avalé alors que ta bouche était encore autour de ma bite. Vierge ou non, tu es extrêmement rare, Jane. »

Je ne savais pas comment répondre à ça. Pour une vierge comme moi, ces mots me donnaient l’impression d’avoir gagné les jeux olympiques. J’avais été effrayée et nerveuse tout ce temps. Je n’avais pas voulu le décevoir – je ne le voulais toujours pas, d’ailleurs – et c’était incroyable de savoir que je l’avais satisfait. Je pouvais respirer, maintenant.

« Et ça, ce n’était qu’une pipe de ta part. » Son visage était un mélange d’exaltation et de confusion.

« - Je suis sûr que ça sera fantastique, de baiser ta chatte.

- J’irais chez le docteur dès demain matin, » promis-je.

J’étais sûre de pouvoir trouver un rendez-vous de dernière minute à une clinique du coin. J’avais dix-huit ans et je n’avais pas besoin de m’en faire, le docteur n’irait pas dire à ma mère que je voulais prendre une injection de contraceptif. Elle s’en ficherait d’ailleurs probablement, de savoir que j’étais sexuellement active. Peut-être même qu’elle serait fière que je fasse attention.

« J’ai vraiment hâte, » dit-il, avant de prendre un bout de papier du tiroir de son bureau et de griffonner quelque chose dessus. « C’est mon adresse. Retrouve-moi demain soir. Je préparerai le dîner. »

Je ne pus que hocher la tête, mais au fond de moi, des nuées de papillons s’envolaient dans mon estomac.

« Mets ton uniforme, mais sans culotte. »

Un autre hochement de tête.

« Je vérifierai. »

Et sur ce, je me levai et me dirigeai vers la porte. « Et, Jane ? » Je tournai la tête pour le regarder, tout comme je l’avais fait ce dernier jour de cours. Cette fois-ci, je savais qu’il me désirait. J’avais un estomac rempli de son sperme pour le prouver.

« Ne te touche pas. Cette chatte m’appartient. J’ai fait exprès de ne pas te faire jouir. Ne va pas croire qu’une fessée est la seule punition que je peux t’infliger si tu es vilaine. Si tu te fais jouir toute seule, je le saurais. »

Mes murs intérieurs se contractèrent et je me demandai comment j’allais pouvoir tenir jusqu’au lendemain soir.

Chapitre Quatre

Jane

J’adorai et je détestai la sensation du vent du soir qui frottait contre ma chatte nue, sous ma courte jupe. J’étais la seule personne qui portait encore l’uniforme scolaire. J’avais eu mon diplôme et je n’étais plus une lycéenne. Mais j’étais l’élève de M. Parker, et s’il voulait que je porte cet uniforme de vilaine écolière, je le porterai.

Tout comme il l’avait ordonné, je ne portais pas de culotte. Dès que je sortis de ma voiture et que je m’approchai de la porte d’entrée, j’eus chaud et froid tout à la fois ; froid à cause de la nuit et pourtant chaud grâce aux pensées qui envahissaient ma tête. Une partie de moi était effrayée. On m’avait tellement répété de ne jamais parler à des inconnus et encore moins de se rendre chez eux. Je secouai la tête à ces pensées.

M. Parker n’était pas un inconnu. J’avais été dans sa classe pendant toute l’année. Je l’avais sucé la veille. S’il m’avait voulu du mal, il aurait déjà montré ses vraies couleurs. Je refoulai ces pensées négatives au fond de mon cerveau ; je savais que je ne faisais que me faire peur toute seule.

Quand j’étais passée prendre la piqûre contraceptive ce matin, ça avait été comme une réalisation que tout ça – perdre ma virginité – allait vraiment se passer. J’étais un peu triste quand la gynécologue m’avait dit que je devais attendre sept jours avant d’avoir des rapports sans risque de grossesse. J’avais fait une note mentale de prévenir M. Parker de ce contre-temps. Il pourrait attendre… n’est-ce pas ? Il n’avait pas besoin de coucher avec moi tout de suite, si ? Il n’irait pas chercher quelqu’un d’autre… hein ?!

Il ouvrit la porte avant que je puisse appuyer sur la sonnette.

« J’ai entendu ta voiture arriver, » m’expliqua-t-il. Au moins, je savais qu’il était impatient de me voir.

Il s’effaça sur le côté pour me laisser entrer chez lui. « Tu as intérêt à ne rien porter sous cet uniforme, jeune fille. »

Rien que le ton grave et sévère de sa voix me fit mouiller.

Lorsque je me retournai pour lui faire face, il avait fermé la porte et s’était adossé contre, les bras croisés.

Je compris qu’il attendait que je lui montre.

Lentement, je levai ma jupe et en maintins le bord au-dessus de ma taille du bout des doigts. Ses yeux s’écarquillèrent à la vue de ma chatte, nue et mouillée pour lui. Je ne savais pas pourquoi il avait l’air aussi surpris, mais il la fixait d’un air à la fois intense et mystérieux que je ne pus m’empêcher de songer à ce moment, juste après la remise des diplômes. Ça avait été tellement bon de le sucer. Je pensais que les femmes faisaient ça pour faire plaisir aux hommes, mais je le ferais n’importe quand sans même qu’il demande. Je m’étais sentie puissante, dans la manière dont je l’avais fait jouir. Une petite vierge comme moi avait réussi à faire tirer un coup à M. Parker.

Tout ce qu’on avait – j’en voulais tout simplement davantage, de la forme de sa bite, de la sensation qu’elle me procurait dans ma main, mes lèvres, ma gorge, et même de son sperme qui envahissait ma bouche. Son goût.

« Tu es passée chez le docteur ? »

Je hochai la tête et commençai à laisser retomber ma jupe, mais mes mains s’immobilisèrent lorsqu’il secoua la tête.

« Je veux regarder ma petite chatte vierge. »

Je me raclai la gorge et rougis, mais répondis à sa question. « Le docteur… elle… elle m’a dit qu’on devait attendre une semaine. »

Il hocha la tête en réponse et me dit que je pouvais laisser ma jupe retomber. « Viens. »

Il me prit par la main et me guida. Sa maison avait l’air d’un vrai foyer. Elle n’était pas aussi grande que la maison de mes parents, qui était plutôt un manoir, mais c’était plus que suffisant pour lui. Dans le salon, il y avait un ordinateur fixe de gamer high-tech et de nombreuses consoles en-dessous de sa télé. Ce n’était pas tous ces gadgets qui me firent me sentir encore plus excitée ou mouillée que je ne l’étais déjà, cependant ; c’était l’ameublement. Je songeais à tous les endroits où on pourrait baiser, depuis le bureau d’ordinateur jusqu’au canapé à trois places, à la table de dîner et au comptoir de cuisine en granit. Mon esprit faisait un marathon et il était le seul homme au monde à pouvoir me satisfaire.

« Je t’ai promis que je nous ferais à dîner ici. On pourra éviter le bruit et les yeux indiscrets, comme ça.

- Et les préliminaires… on peut pas faire ça en public, » dus-je ajouter. J’avais été tellement silencieuse jusque-là que je ne voulais pas qu’il pense que je regrette d’être venue. C’était tout ce que je désirais.

« Oh, Jane... » Il secoua la tête, et un sourire revint sur ses traits. « J’ai tellement de choses à t’apprendre... »

Je voulais lui poser des questions, mais il se rendit dans la cuisine. À quoi je devais m’attendre, exactement ? On peut faire des préliminaires et baiser en public ? Mentalement, je fis une note de chercher des vidéos pornographiques dans des lieux publics. Je réalisai qu’il y avait des tonnes de choses que je devais apprendre mais, si je devais étudier, je préférais largement l’éducation sexuelle aux maths ou au français.

L’odeur délicieuse d’une cuisine italienne attira mes sens et je me rendis dans la cuisine pour voir M. Parker retirer délicatement un plat de lasagnes du four.

« - M. Parker, ça a l’air délicieux.

- Appelle-moi Gregory, dit-il avec un clin d’œil. Mais n’en parle pas à tes camarades. »

Mon cœur manqua un battement. Je pouvais l’appeler par son prénom ? Aucune de mes amies ne pouvaient faire ça.

« Ex-camarades, repris-je avec un sourire de ma part. J’ai eu mon diplôme hier, vous vous rappelez ? »

Je regardai M. Parker – Gregory – secouer la tête avec un sourire en coin. « Bien sûr. Comment aurais-je pu oublier ce qu’on a fait ? »

Je sentis une vague de chaleur envahir mon corps, de ma poitrine à ma chatte. Je n’avais pas besoin de lui demander de m’expliquer. On pensait à la même chose. Ce moment dans sa classe était trop agréable pour qu’on l’oublie jamais. J’expirai lourdement ; je n’avais pas besoin de m’inquiéter tant que ça. Il n’avait pas l’air de vouloir me planter là d’aussi tôt.

« Est-ce que je peux vous aider à faire quelque chose ? » demandai-je.

Une grande partie de moi espérait qu’il me dise « non ». J’étais quasiment inutile dans une cuisine, puisque mes parents avaient embauché toute une équipe pour s’occuper de la maison, depuis la cuisine jusqu’à la buanderie, en passant par le jardin. Je ne voulais pas y penser, mais je me sentis soudain embarrassée de vivre une vie aussi privilégiée. J’espérais que M. Parker ne penserait pas à moi différemment lorsqu’il réaliserait que j’étais une fille gâtée et que je ne pouvais quasiment rien faire dans une maison.

« - Je peux m’occuper des boissons.

- Shh, répondit-il rapidement. Tu es mon invitée. Il y a du pain à l’ail au four. Je l’ai préparé il y a un moment rien que pour nous. Va t’asseoir et mets-toi à l’aise. »

J’acquiesçai à ces mots.

« - Tu peux te mettre au salon et te trouver quelque chose à la télé. J’arrive dans une seconde.

- D’accord. » Je savais bien qu’il fallait l’écouter. Lorsque M. Parker voulait quelque chose, il l’obtenait. Le fait qu’il m’invite chez lui ne faisait pas exception à la règle, maintenant que j’étais sortie de sa classe.

Quelques minutes plus tard, il me rejoignit avec deux parts de lasagnes et de pain. Mon estomac gargouilla lorsque les arômes me passèrent sous le nez et je sentis l’eau me monter à la bouche.

Il déposa les assiettes sur la table basse avant de retourner à la cuisine. Lorsque je me retournai pour voir ce qu’il faisait, il revint avec une bouteille de soda et deux verres à la main. Il nous servit à boire avant de s’asseoir confortablement dans le canapé, juste à côté de moi. Nos cuisses se frottaient l’une contre l’autre et je ne pus empêcher mon cœur de sauter un battement, ni mes tétons de se durcir. Il avait cet effet sur moi, tout simplement.

« Tes parents sont d’accord, pour que tu sortes aussi tard ? » me demanda-t-il soudain.

J’avais presque dix ans de moins que lui et mes défenses s’activèrent. « J’ai déjà dix-huit ans. »

Il me sourit, puis laissa son regard s’attarder sur mon corps avant de répondre dans un murmure, « Je sais. »

Je me calmai avant de reprendre.

« Ils sont en Europe… depuis une bonne semaine.

- Hum… C’est bien ce qu’il me semblait. » Je levai un sourcil, et il reprit.

« Anne et tes autres amies avaient des bouquets de félicitations et toi…. Tu…

- N’avais rien. Je n’avais rien, » finis-je en le regardant hocher la tête.

Avant que l’atmosphère ne devienne trop négative, il toussa et donna une autre direction à la conversation.

« Alors, qu’est-ce que tu prévois pour l’université ? »

J’ouvris de grands yeux, à la fois parce qu’il était déjà à la moitié de son plat, et aussi parce qu’il me posait des questions. De vraies questions, à mon sujet et pas sur l’état de ma chatte ou si je portais un soutien-gorge.

Je pensais qu’il n’était intéressé que par coucher avec moi, une vierge, alors pourquoi est-ce qu’on avait une vraie conversation ? Non pas que je m’en plaignais. Vraiment, je ne me plaignais pas. En réalité, ça ne me faisait que l’apprécier davantage. Il voulait vraiment me parler à moi, une fille qui ne connaissait presque rien du monde. Il ne me regardait pas de haut. Pourrait-il être plus parfait ?

Pendant le reste du dîner, je lui parlai de mes projets d’aller à l’université du coin. Je maintins le contact visuel avec lui tout du long, en réalisant que je ne lassais pas de ces yeux marron caramel.

Chapitre Cinq

Gregory

« Pourquoi tu veux aller à cette université ? » demandai-je. Je la regardai prendre une gorgée de son verre et déglutir et je me souvins de la manière dont elle avait avalé tout mon sperme.

Je faisais vraiment tout mon possible pour penser avec mon cerveau et pas uniquement avec ma bite, mais c’était presque impossible. De savoir qu’elle ne portait rien sous sa jupe d’uniforme me donnait la trique. Je joignis mes mains et les posai sur la bosse grandissante.

Je ne voulais pas qu’elle pense que je ne la voulais que pour le sexe. Bien sûr, c’était une part importante de mon désir, mais Jane était tellement plus que ça. Elle était à moi. D’apprendre qu’elle voulait rester dans cette ville pour ses études supérieures ne rendait ça que plus officiel.

Il y avait tellement de choses à apprendre et à savoir sur elle, tellement d’aspects à découvrir et je voulais bien prendre le temps de le faire.

« Comment ça ? répondit-elle en essuyant sa bouche avec une serviette.

- C’est une petite école. Tu es une fille intelligente, Jane, et pas que dans mon cours. » Je marquai une pause. « Si tu le voulais, tu pourrais aller dans les meilleures universités de tout le pays. »

J’observai sa réaction et notai la manière dont ses sourcils s’écartèrent. Elle prit une respiration rapide, la relâcha, et resta silencieuse quelques secondes. Elle avait l’air nerveuse, avec une expression d’inquiétude sur le visage qui faisait se plisser son front. Je n’avais jamais vu cet aspect chez elle – une préoccupation sincère.

C’était la fille qui savait comment se comporter et semblait ne jamais rencontrer de problème dans sa vie. Elle déambulait dans les couloirs de l’école avec ce sourire radieux et ce déhanchement sensuel. De la voir maintenant – sous un autre jour – ne fit qu’attiser ma curiosité.

« Je ne suis pas sûre d’y arriver... »

Je posai une main sur son genou et appuyai légèrement pour l’inciter à continuer. Elle me regarda un instant avant de détourner le regard en penchant la tête.

« Je ne suis jamais partie de chez moi. Je ne sais pas du tout comment vivre toute seule. »

Elle s’arrêta une seconde, hésitante. Sa lèvre inférieure ressortit et elle baissa les yeux. Elle avait l’air d’avoir honte.

Je fronçai instantanément les sourcils. Une Jane honteuse, voilà quelque chose que je ne voulais jamais voir. Ça ne lui allait pas. Elle avait tellement de potentiel pour ce genre de sentiment.

« Je n’ai jamais travaillé de ma vie. Je ne fais même pas ma propre lessive. Je ne sais pas cuisiner. On a toujours tout fait pour moi, que je le veuille ou non. Bien sûr, mes parents payent toujours pour tout, mais ils ne sont jamais là. » Elle leva les mains en l’air avant de les laisser retomber et de continuer.

« Je ne sais pas. Tout simplement, je n’ai pas intérêt à partir d’ici. Je suis contente de rester dans cette ville pour l’université.

- Bien, » dis-je. Elle était à moi et elle n’allait certainement pas aller dans une école à deux fuseaux horaires d’ici. Je ne la retiendrais pas si c’était son rêve, mais ce n’était pas le cas. Ses putains de parents ne lui avaient pas assez donné de confiance en elle pour qu’elle déploie ses ailes. Elle était contente d’aller à l’université, mais ça ne l’excitait pas de voyager trop loin. Pourquoi ça l’intéresserait, puisqu’elle n’avait pas une vie de famille stable et aimante ?

« Bien ? répéta-t-elle en se mordant la lèvre.

- Parce que ta chatte m’appartient, tu te souviens ? »

Elle hocha la tête et baissa les yeux. Le rouge lui allait très bien aux joues.

« C’est toujours ce que tu veux ? Que je m’occupe de toi ? »

Elle releva la tête rapidement. « Oui, monsieur. » Son ton était déterminé.

« C’est bien. »

Je la regardai profiter de ce compliment.

« On dirait que j’ai beaucoup de choses à t’apprendre, pas vrai ? »

Ses joues devinrent plus sombres quand elle comprit que je parlais de baiser. Oui, je lui apprendrai exactement ce que j’aimais et je lui montrerai comment elle l’aimerait, elle aussi.

« Oui, monsieur, » répéta-t-elle.

Je passai une boucle de ses cheveux derrière son oreille et dit, « Ça comprend les punitions, Jane. Est-ce que tu es prête à te faire jeter sur mes genoux et à te faire fesser pour retenir une leçon ? Prête à te faire enfoncer un plug anal pour que tu rappelles qui commande ici ? »

Ses yeux s’écarquillèrent à ces mots. Oui, je mettrais un gros plug dans son cul pour qu’elle se rappelle à qui elle appartenait, si nécessaire. Ou bien, si j’en avais envie. Plus elle comprenait comment les choses allaient être, mieux c’était.

« Vous me punirez si je fais brûler le dîner ? demanda-t-elle, clairement inquiète.

- Je te punirai si tu l’as laissé brûler parce que tu étais en train de jouer sur ton portable. »

Elle acquiesça.

« Je te punirai si j’apprends que tu envoies des messages en conduisant. Ou si tu n’as pas ton portable quand tu sors. Ou si tu flirtes avec des gamins de l’université. »

Elle eut un sourire.

« Des gamins de l’université ? Je ne veux pas d’un gamin. Je vous veux… vous.

- Tu veux un homme qui sait ce qu’il fait, pas vrai ? »

Elle opina de la tête et me regarda avec ses grands yeux innocents. « J’aime bien quand vous prenez les choses en main, » admit-elle, avant de baisser les yeux sur ma bite.

Elle était toujours timide quant à sa sexualité, mais elle parvenait mieux à la cerner maintenant. Elle commençait à me regarder plus souvent dans les yeux et elle était toujours une élève très attentive et à l’écoute, en s’assurant qu’elle entendait et faisait tout ce que je lui disais.

« Vraiment ? » Elle me répondit avec un hochement de tête, mais c’était plus qu’assez pour moi.

« Tu aimes quand je te dis quoi faire ? Quand je te dis comment sucer ma bite ?

- Oui, » murmura-t-elle, et je la regardai fermer ses yeux l’espace d’une seconde.

« Quand je te punis parce que tu as été une vilaine fille ?

- Oui.

- Quand je te récompense pour avoir été une gentille fille ? » Je déposai ma main sur sa cuisse nue et la fit glisser sous la bordure de sa jupe.

« Hum... » Je la vis prendre une grande inspiration avant de reprendre.

« Oui, j’adore ça.

- Est-ce que tu t’es touchée hier soir quand tu étais seule dans ton lit ? Tu as écarté tes cuisses, tu as mis tes doigts dans ton petit trou vierge ? Tu t’es fait jouir ? »

Elle secoua la tête avec conviction.

« Alors, tu as vraiment été une bonne fille, à suivre tout ce que j’ai dit. » Je passai un doigt sous son menton et lui relevai la tête jusqu’à ce que nos regards se croisent. « Est-ce que tu sais ce que les bonnes filles méritent ? »

Ses joues tournèrent rapidement au rouge.

« J’espère… j’espère que je pourrais jouir.

- Tu verras bien, » dis-je avec un sourire malicieux et je la repoussai contre le canapé de sorte que son dos soit bien placé contre le coussin.

Quand j’en aurais fini avec elle, elle ne serait plus qu’un désastre mouillé dans ma main… ou ma bouche. J’avais hâte d’y être – pouvoir voir son air euphorique quand elle découvrirait ce que ça faisait de se faire lécher.

Je me mis à genoux sur le tapis devant elle. Je n’hésitai pas à tirer son cul plus proche du bord du canapé avant d’ouvrir ses genoux. Je retins mon souffle lorsque je vis les lèvres de sa chatte rutilantes me provoquer. Je pris une inspiration pour sentir sa douce odeur.

« Tu es absolument trempée, » grognai-je. Sa crème couvrait même ses cuisses.

Elle gémit et souleva ses hanches lorsque je passais mes doigts à travers son désir. Je voulais la prendre doucement, presque trop lentement. Je voulais qu’elle me supplie désespérément. Pour ce que j’allais lui donner. Personne d’autre ne lui ferait jamais ressentir ça.

Je voulais qu’elle gémisse et qu’elle crie aussi fort qu’elle le voulait. Je me foutais totalement que ça réveille mes voisins. Elle avait dix-huit ans. Tout ce qu’on faisait était légal mais, dans ce cas, légal ne voulait pas dire ennuyeux. Je manquai de rire bruyamment à cette pensée. J’avais beaucoup de choses en tête, mais aucune n’était ennuyeuse. Je gardais beaucoup de surprises pour elle.

J’amenai son excitation à ma bouche et elle me regarda tandis que je nettoyais mes doigts avec ma langue. Elle avait un goût doux et acidulé et l’eau me monta à la bouche. J’en voulais plus.

Je regardai son trou vierge avec ces lèvres écartées et je voulus arracher mon pantalon pour me plonger en elle. Ce n’était pas encore le moment. Même si j’aurais pu la prendre maintenant, je ne l’aurais pas fait. Il y avait tellement de premières fois dont je devais profiter avec elle avant de prendre sa virginité.

« Tu aimes ça, » demandai-je avec un sourire en faisant des cercles avec mon pouce sur son clitoris. Je sentis une vague de confiance m’envahir, chaque mouvement que je faisais sur elle lui faisant bouger ses hanches. J’avais hâte d’arriver au final et ma bite me disait d’accélérer et d’en finir.

Jane écarta encore plus ses jambes. Sa chatte n’était couronnée que d’une fine bande de poils blonds. Elle l’épilait et l’entretenait et je ne pus m’empêcher de songer que chaque seconde passée avec elle m’amenait davantage de surprises.

Pour une vierge, elle semblait très bien savoir quoi faire ou comment réagir. Mon esprit se rappela instantanément du jour précédent. Elle n’avait jamais vu de bite de sa vie, mais elle avait très bien su commencer sucer la mienne. Mais son air timoré et sa voix douce et à peine audible le montrait – c’était bien une vierge.

« M. Parker... gémit-elle, les yeux fermés.

- C’est ça, tu m’appelleras M. Parker quand tu porteras ton uniforme, quand tu seras mon élève, lui dis-je. Je veux te l’entendre dire quand tu me supplieras de faire les choses plus vilaines et plus sales qui nous attendent. »

Un gémissement puis deux franchirent ses lèvres et sa tête retomba contre le coussin lorsqu’elle arqua son dos.

« Défais ta chemise et montre-moi tes seins. »

Sa main vint trouver les petits boutons et les défirent, écartant les pans de la chemise pour montrer ses bouts pointus exposés.

J’eus un claquement de langue désapprobateur.

« Sans soutien-gorge, Jane. Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes tétons durs sous ta chemise ? Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes petits seins rebondir quand tu marchais ?

- Non monsieur, » dit-elle. Je pris un de ses seins et passai mon pouce sur son petit bout. Il remplissait parfaitement la main, sans être trop gros, peut-être un bonnet B… si elle avait porté un soutien-gorge. Ils étaient hauts et pointaient, comme doivent l’être ceux d’une jeune fille.

Elle hoqueta quand je la pinçai délicatement.

Parfait. On dirait que ma petite étudiante appréciait un peu de douleur avec son plaisir.

Je continuai à jouer avec ses seins et baissai ma tête pour poser ma bouche sur elle. Enfin.

Elle était glissante et douce et je sus que je pourrais manger sa chatte pendant des heures.

Mais je l’avais laissée trop excitée depuis le jour précédent. Elle avait été fessée, et j’avais joué avec son clitoris avant qu’elle ne suce ma bite. Puis, je l’avais laissée dans cet état. Maintenant, elle était tellement apprêtée qu’un coup de ma langue sur son clitoris la fit partir. Elle se tordit et hurla tandis que ses fluides imprégnait mes lèvres.

Le son de son orgasme manqua de me faire jouir. Ses cuisses s’étaient appuyées de part et d’autre de ma tête et elles tremblèrent dans son extase. Sa respiration était haletante et je sus que quand elle se touchait, ça n’avait jamais été comme ça.

Non, elle venait de jouir sur tout mon visage.

« S’il vous plaît, supplia-t-elle.

- Qu’y a-t-il, jeune fille ? »

Elle était étalée sans aucune pudeur sur mon canapé, sa jupe d’uniforme retournée sur sa taille, ses jambes écartées et sa chatte exposée, toute rose et gonflée. Elle gouttait sur le coussin en cuir. Ses seins pointus étaient visibles puisque sa chemise était ouverte et sa peau pâle rutilait de sueur. C’était tout le fantasme de jeune lycéenne que j’avais jamais pu imaginer.

« Plus, souffla-t-elle.

- Plus de quoi ? demandai-je. Utilise tes mots et dis tout à ton professeur.

- Votre bite. S’il vous plaît. Je me sens… je me sens vide. »

J’avais ardemment désiré entendre ces mots sur ces lèvres. Du bout du doigt, je taquinai son entrée. « Ta chatte est hors limite. Pas de bite dans ce trou. »

Elle geignit de déception.

« Je sais que c’est dur, mais c’est un ordre du docteur. J’ai déjà conquis ta bouche. » Je descendis mon doigt et fis un cercle autour du bouton de rose plissé de son cul.

« Si tu veux ma bite, je prendrai ce trou en suivant. Est-ce qu’un garçon t’a déjà touchée ici ? »

Elle se raidit, mais sa tête alla d’un côté à l’autre tandis que je faisais des cercles et que j’appuyais contre son trou resserré.

« - Non.

- Alors, ça sera la leçon de ce soir. Prendre ma bite dans ton cul.

- M-mais…

- Tu portes ton uniforme, jeune fille. Tu vas être une bonne élève Jane, pas vrai ? »

Elle ouvrit ses yeux et je vis qu’ils étaient flous de passion, mais aussi empreints d’une inquiétude qui ne venait qu’avec l’innocence. Son regard se posa sur son corps, et elle tira sur les pans de sa chemise pour la refermer, bien que ça ne la rende en rien moins érotique.

Mis à part le fait que de la voir et de la souiller dans son uniforme d’écolière m’excitait au plus haut point, c’était aussi un symbole de son rôle. Mon élève. La mienne.

« - Oui, monsieur.

- C’est bien. » J’utilisai ses fluides pour passer le bout de mon doigt à son entrée arrière plus facilement. Elle gémit devant cette petite invasion avant que je ne reparte, que je me lève et que je la soulève dans mes bras.

« C’est bien. Ce trou vierge est à moi aussi, et je vais le prendre tout de suite. »

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