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Chapitre Deux

M. Parker

Elle était tellement magnifique quand elle vint prendre son diplôme et elle le savait.

Avec ces cheveux blonds ondulés qui tombaient en-dessous de ses épaules et des yeux d’un marron profond, elle était tellement sexy.

Jane. Ma Jane.

Le lycée était petit, avec à peine quelques centaines d’étudiantes. Même les professeurs entendaient les rumeurs autour des étudiantes, même s’ils ne donnaient pas forcément cours à l’intéressée. Je savais que Jane était l’une des filles de terminale les plus populaires. Sans chercher très loin, c’était grâce à son physique. Elle avait un visage doux et accueillant, mais son corps… Oh, putain de merde.

La blouse de remise de diplôme noire cachait ses courbes séduisantes, mais je les avais toutes mémorisées. J’avais passé l’année entière à imaginer son cul en-dessous de cet uniforme à carreaux, en sachant que sa peau pâle rosirait agréablement lorsque je la fesserai.

Je dus marquer une pause et me concentrer sur des statistiques de base-ball pour garder ma bite sous contrôle. Avoir une érection en pleine vue, au moment même où la cérémonie se finissait, ça ne pouvait m’attirer que des ennuis. Les autres professeurs, plus âgés, me tueraient du regard et les parents, dont l’opinion de l’institution était très haute, appelleraient la police s’ils voyaient un des professeurs avoir la trique devant une classe de diplômées.

Mais je ne regardais pas toute la classe. Je ne m’intéressais qu’à elle.

Ma Jane.

C’était la fille que toutes les autres détestaient et enviaient et celle que les garçons voulaient baiser. Je serrai ma main en un poing en sentant mon sang commencer à bouillonner. Rien que de penser à des garçons de son âge qui en train de baiser Jane me donnait envie de casser ou de frapper quelque chose. Je m’énervais chaque fois que j’entendais parler d’une fête de lycée, de tous les garçons mignons que les lycéennes rencontraient. Est-ce qu’un abruti avait touché les seins effrontés de Jane ? Est-ce qu’ils avaient ouvert ses cuisses crémeuses pour emplir cette petite chatte serrée ? Est-ce qu’ils s’étaient répandus sur elle dans leur hâte adolescente en la laissant insatisfaite ?

Un grognement sourd dans ma gorge fit se tourner le professeur de musique vers moi.

Il y avait tout simplement quelque chose autour d’elle, plus que ce visage mignon et ce corps sexy. Elle était douce et confiante à la fois. Elle était amicale, mais sans jamais laisser personne lui marcher sur les pieds. A la fois dans sa manière d’agir et de paraître, elle paraissait plus vieille, plus mature que ce qu’elle n’était vraiment. C’était péché pour une fille de dix-huit ans d’avoir cette apparence.

C’était péché pour un professeur de désirer une étudiante, mais elle n’était plus étudiante. Oui, elle était vraiment très jeune, mais elle avait l’âge légal et elle était à moi. Je l’avais su le premier jour où elle s’était assise dans ma classe et que cette petite jupe d’uniforme était remontée le long de ses cuisses pâles. J’avais essayé de bien me comporter, de l’ignorer, mais elle avait commencé à me regarder et ses yeux brûlaient sur ma peau chaque putain de jour. Elle me désirait. Et même si elle était trop jeune, trop innocente pour reconnaître ce qu’elle ressentait, je savais. Je savais et je serais celui qui le lui donnerait.

C’est à ce moment que j’avais décidé qu’elle serait mienne. Je devais simplement attendre toute l’année, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus mon élève.

Je m’étais demandé comme je l’approcherais, mais ce jour-là, la semaine dernière, et le petit mot qu’elle avait échangé avec son amie Anne ? Ça avait été… le destin. J’avais voulu me branler toute la semaine à l’idée qu’elle soit impatiente de me donner – à moi ! - sa virginité, mais je m’étais retenu. Je voulais garder jusqu’à ma dernière goutte pour elle. Tout mon sperme serait pour Jane. J’avais tellement hâte de la remplir, de la voir essayer de tout avaler, de le voir glisser le long de son cul et de sa chatte détruite. Je ne gâcherais pas une autre goutte dans un putain de préservatif. Je la prendrai comme ça, sans rien entre nous. Sa chatte vierge ne connaîtrait jamais rien d’autre.

Putain, j’avais supposé qu’elle était peut-être encore vierge, mais son mot me l’avait confirmé. Elle voulait que je sois son premier, j’allais faire ça pour elle. Être chacun de ses premiers. Je serais le seul à la toucher. Le seul dont la bite ferait ouvrir sa bouche en grand. Le seul dont la bite ouvrirait son joli petit cul. Le seul qui prendrait sa virginité. Sa chatte, son cul, elle était à moi. Chaque partie innocente d’elle.

C’en était fini de l’attente.

« Alors, comment ça se passe pour ton examen du barreau ? »

Merde. J’essayai de ne pas grogner de nouveau, me forçai à repousser mes pensées cochonnes dans les parties les plus profondes de mon cerveau. Je penchai la tête sur le côté et essayai d’arborer mon meilleur sourire. Lise, la professeur de musique de l’école, me regardait en attendant une réponse.

« C’est dans quelques mois, pas vrai ? » renchérit-t-elle alors, en élargissant son sourire.

J’acquiesçai et essayai de trouver un autre sujet pour continuer la conversation, mais une tête aux cheveux blonds attira mon attention, au loin. Jane était dans un cercle d’amies, avec Anne et quelques autres élèves. Elles portaient toutes leurs tenues de cérémonie, qui étaient trop longues à mon goût, mais le vent soufflait parfois pour dévoiler leurs jupes à carreaux qui arrivaient au-dessus du genou.

Merde. Je jurai en moi de nouveau. Ma bite avait officiellement un esprit autonome. Je me décalai légèrement sur le côté. Je ne voulais pas aiguillonner Lise ou qui que ce soit d’autre avec ma bite, et avec Jane je voulais faire plus que ça.

« Merde, » dis-je tout haut à mon attention, en secouant la tête et en riant. Mes pensées me trahissaient et je savais que c’était tout simplement futile d’essayer de les contrôler.

« Oh... » La tête de Lise était impayable. Elle avait trois ans de plus que moi, mais agissait comme si elle avait bien plus de trente ans. Pour la décrire simplement, elle marchait comme si elle avait un balai dans le cul et quelqu’un avait besoin de le lui retirer, mais ça n’allait pas être moi.

« Désolé, m’excusai-je. Je viens de me rappeler, j’ai quelque chose à faire.

- Oh, quoi donc ? » demanda-t-elle, en posant son regard sur les groupes d’étudiantes et leurs parents qui s’affairaient tout autour.

La plupart d’entre eux prenaient des photos et s’échangeaient des vœux de bonheur. J’avisai Jane, au loin. Elle brandissait son portable devant elle et prenait des selfies avec ses amies. Je remarquai que c’était la seule de son groupe à ne pas porter un bouquet de roses.

Où étaient ses parents ? Est-ce qu’ils étaient déjà partis ?

Ces étudiantes, fortunées et aisées, en avaient beaucoup – des parents absents. Il fallait bien que les parents tirent cet argent de quelque part. Les quarante-huit mille euros de frais de scolarité annuels ne se réglaient pas tout seuls.

« Désolée, est-ce que je vous incommode ? » demanda Lise, après que je n’eus rien dit pendant deux minutes.

Oui. « Non, bien sûr que non, répondis-je un peu trop vite. Je veux dire… il n’y a pas grand-chose à dire sur mes études pour le barreau. C’est dans deux mois, alors j’essaye tout simplement d’apprendre le plus de choses possibles. Je vais passer l’été le nez dans les livres. »

Ou entre les jambes écartées de Jane.

« Eh bien, je suis sûre que d’enseigner l’éducation civique doit aider. »

Pas vraiment, mais j’acquiesçai. « C’est vrai. »

Jane m’aide, me souffla ma conscience, et je réalisai que j’allais devoir partir avant d’avoir une érection massive à montrer au monde entier. « Excusez-moi. »

Je me retournai sans rien ajouter et retournai au bâtiment principal. Je pris les escaliers qui menaient jusqu’à ma salle de classe pour y attendre.

Attendre Jane. Pour la faire mienne. Enfin.

Rien que de penser à elle et au petit mot qu’elle avait échangé avec Anne suffisait à se faire dresser ma bite contre le bord de mon pantalon. Je posai le dos de ma main fermement contre ma bite. Bordel de Dieu, heureusement que le bâtiment était complètement vide. Ce que je voulais faire n’était que pour Jane et moi. Je serais le seul à voir son corps, le seul à entendre ses gémissements. Je la prendrai comme je le voudrais, où je voudrais, y compris dans mon fantasme favori, penchée sur mon bureau.

Allongée dessus, les jambes écartées.

Sur le sol. Sous la table pour qu’elle s’agenouille entre mes jambes en me suçant tandis que je resterais assis dans ma chaise. Contre les armoires.

Les affaires scolaires qui traînaient seraient une jolie petite touche à ajouter – cette règle pour la fesser.

Elle est vierge, me rappelai-je.

On aurait le temps de parler de choses plus sauvages plus tard. Pour le moment, rien que de penser à du sexe traditionnel avec elle était suffisant pour me faire jouir dans mon pantalon. Je penchai la tête sur le côté pour regarder l’horloge juste au-dessus de la porte d’entrée. Elle serait là d’une minute à l’autre maintenant, mais ma bite n’en pouvait plus d’attendre. Je la caressai depuis quelques minutes maintenant. Quelques coups de plus et je salirais tout et je ne voulais pas que mon sperme se retrouve ailleurs que dans Jane.

Je ne pouvais pas m’en empêcher, putain. Où que je regarde dans la classe, je ne pouvais songer qu’à ce que j’allais lui faire.

Quelqu’un frappa doucement à la porte.

« Entrez, » dis-je.

La porte s’ouvrit et Jane entra.

Dehors, le soleil de l’été était haut dans le ciel et ses joues étaient rouges de chaleur. Bien que je ne puisse m’empêcher de remarquer qu’elles devinrent plus rouges encore quand elle rencontra mon regard. Son regard était hésitant et anticipateur à la fois. Elle savait ce qui allait se passer, mais en même temps, elle ne saurait pas quoi faire.

Je souris à cette pensée. Je lui apprendrai absolument tout de ce qu’elle devait savoir et je prendrai mon temps. Plus longue est l’attente, plus doux est le fruit et cette expression s’accordait parfaitement à Jane.

Elle demeurait figée sur place, à attendre que je lui dise quoi faire. Oui, je serais de nouveau son professeur. J’étais tombé amoureux d’elle au cours de l’année dernière, à écouter ses blagues avec ses amies, à tendre l’oreille quand elle riait. Elle n’était jamais cruelle avec ses camarades ou méchante avec les autres étudiantes. Elle avait de l’élégance, elle était belle et extrêmement intelligente, et elle était seule. Je pouvais reconnaître l’air dans ses yeux, le besoin d’appartenance.

Elle était à moi, elle ne le savait simplement pas encore.

« Ferme la porte, Jane. A clé. »

Chapitre Trois

Jane

Je fis ce qu’il m’avait dit. Je fermai la porte, poussai le verrou et chaque seconde qui passait me faisait me sentir à la fois plus nerveuse et plus excitée. C’était aujourd’hui, aujourd’hui que M. Parker allait prendre ma virginité. Rien que de penser à lui je me sentais mouillée et je pressai mes cuisses ensemble lorsque je sentis mes murs intérieurs se contracter d’anticipation. J’avais fantasmé sur lui tellement de fois. Depuis le premier jour qu’il était entré dans cette classe et qu’il s’était présenté comme notre prof, tout ce que j’avais voulu, c’était qu’il me prenne.

Lorsque j’entendis le cliquetis du verrou dans la porte, je retins mon souffle et attendis qu’il me donne ses prochaines instructions. Il avait collé du papier de bricolage rouge sur la grande fenêtre rectangulaire de la porte. Sa classe était au premier étage. En-dessous de nous, sur le terrain de foot, des parents et d’anciennes camarades de classe s’affairaient à prendre des photos, à faire des câlins à leurs grands-mères et à planifier des fêtes. Le fait qu’ils soient aussi proches, mais sans avoir aucune idée d’où j’étais ou de ce que je faisais m’excitait terriblement.

Personne ne pouvait voir dans cette pièce à part les oiseaux. J’étais seule avec M. Parker.

Je ne savais pas pourquoi, mais j’aimais qu’on me dise quoi faire, surtout lorsque ça venait de lui. Il paraissait plus fort et plus puissant quand il me donnait des ordres et j’adorais le sentiment de sécurité qui en découlait. Lorsqu’il me dominait, je sentais que j’étais importante, comme s’il se souciait de moi. Je ne savais presque rien sur le sexe, même si j’en parlais beaucoup et que j’avais regardé beaucoup de pornos. Dans la réalité, j’avais besoin que quelqu’un me guide et j’étais tellement contente que ce soit M. Parker.

Il s’appuya contre le bureau et me fixa du regard, en détaillant la robe de cérémonie informe que je portais. Je sentis instantanément la chaleur parcourir mes veines sous son regard. Ses yeux scrutèrent mon corps, de mon visage à mes jambes et je m’inquiétai lorsque ses lèvres se froncèrent vers le bas.

Qu’est-ce que j’ai fait ?

« Enlève-ça. » Du doigt, il désigna la robe de cérémonie.

Hésitante, je fis ce qu’il me disait sans le quitter des yeux lorsque le tissu noir tomba sur mes chaussures d’uniforme marrons et mes socquettes. Soudain, l’air autour de moi me parut plus chaud. Tout ce qui me séparait encore du moment de me faire prendre, c’était ma jupe à carreaux et ma culotte. Je voulais ça, pas vrai ?

Bien sûr que oui, me rassurai-je en moi-même.

Mais je ne savais pas quoi faire ! Et si je n’arrivais pas à lui faire plaisir ? Il avait eu d’autres femmes, de vraies femmes – pas des jeunes-filles comme moi –, et si je ne l’attirais pas avec mes manières trop timides ?

Avant que je puisse me défiler, il se redressa en prenant appui sur le bureau et se rapprocha de moi.

« Tu as été une vilaine fille, Jane, me dit-il, et mon nom roula sur sa langue. Faire passer des petits mots en classe... » Je détournai le regard et la nervosité m’envahit. Ma chatte ne voulait pas coopérer, pourtant. Mes muscles, juste-là, se contractaient puis se relaxaient, encore et encore. « Et écrire des choses sur ta virginité à perdre au lieu d’écouter pour ton examen. »

Lentement, il secoua sa tête de chaque côté et je sentis mon estomac s’enfoncer.

Je l’avais déçu.

« Tu veux que quelqu’un prenne ta petite chatte pour la première fois ? »

Je me mordis la lèvre inférieure et parvins à faire passer un petit « non ».

« - Je ne t’ai pas entendue, Jane.

- Non ? » Il s’arrêta de bouger et je pris mon courage à deux mains.

C’est maintenant ou jamais, Jane.

« Non. Je ne veux pas que quelqu’un prenne ma chatte. » Je léchai mes lèvres et fixai les siennes du regard. « Je veux que ce soit vous. »

Il était tellement proche de moi, même pas un mètre et je pus voir un soupçon de sourire sur ses lèvres pleines.

« - Tu veux que je te prenne ta petite chatte ?

- Oui.

- Oui qui ? » Je levai les yeux et vis que ses yeux sombres étaient dilatés et totalement, complètement concentrés sur moi. J’étais vierge, mais des garçons m’avaient déjà regardée comme ça. M. Parker me désirait. Il me voulait autant que moi, je le voulais.

« Oui, monsieur. Je veux que vous preniez ma chatte, » dis-je avec un peu plus d’assurance cette fois.

Je me figeai lorsque je sentis sa main effleurer ma cuisse à la bordure de ma jupe d’uniforme. Je retins mon souffle lorsqu’il me caressa un peu plus haut, puis qu’il s’arrêta.

« Je dois d’abord t’apprendre une leçon, » dit-il. Sur ces mots, il s’éloigna de moi.

Je gémis en me demandant ce qu’il allait faire. Mon cœur battait frénétiquement et je me mordis la lèvre en le regardant retourner à son bureau pour en ouvrir le tiroir. Il en sortit une règle et commença à frapper le bout contre la paume de sa main. Chaque claquement brusque faisait se contracter ma chatte. Lorsqu’il se retourna enfin pour me faire face, je tremblais tellement que je pouvais à peine tenir debout. J’avais déjà entendu l’expression avoir les jambes en coton mais je ne l’avais jamais comprise… jusqu’à maintenant.

« Là, » ordonna-t-il en désignant le bureau avant de me regarder avec ces yeux sombres et perçants. Il ne m’avait jamais regardée comme ça en cours. Je déglutis devant leur intensité. « Les vilaines filles qui enfreignent les règles de l’école doivent être punies. »

Intérieurement, je sautais de joie à travers ma nervosité. Je compris que je n’avais pas besoin de m’inquiéter plus que ça. J’avais besoin d’arrêter de trop réfléchir. Je n’avais pas besoin de m’inquiéter que M. Parker regrette son choix et s’en aille. S’il n’avait pas voulu de moi, il m’aurait dit que je me trompais et m’aurait demandée de partir. Merde, s’il n’avait pas voulu de moi, il ne m’aurait pas ordonnée de venir ici, maintenant, exactement une heure après la remise des diplômes.

Et pourtant il était là et me montrait un côté différent, plus sexy et plus sauvage que les autres étudiantes ne verraient jamais. Ce n’était que pour moi.

« Est-ce que vous allez me donner une fessée ? » demandai-je en me dirigeant vers le bureau.

Il resta immobile à côté de moi, et je compris qu’il attendait. Je posai mes mains sur le bois frais du bureau et penchai mon torse dessus.

Il ne perdit pas de temps et vint se placer à côté de moi.

« Les vilaines filles se font fesser sans rien. Relève-moi cet uniforme, s’il te plaît. »

Oh mon dieu.

Je passai mes mains derrière-moi et soulevai lentement le rebord de ma jupe à carreaux, remuant mes hanches au passage pour qu’elles soient bloquées à hauteur de ma taille.

Je tournai la tête et vis qu’il avait les yeux fixés sur mon cul, couvert de ma seule culotte et que sa mâchoire était serrée.

« Sans culotte, Jane. Si tu me donnes ta chatte, ça signifie qu’elle ne doit rien porter et qu’elle doit toujours être disponible pour moi. »

Ses mains trouvèrent l’élastique de ma culotte en dentelle blanche et il tira jusqu’à ce qu’elle tombe à mes genoux. Je pouvais sentir l’air frais sur ma peau nue, sachant qu’il pouvait absolument tout voir.

La règle s’abattit dans un claquement sonore et je sursautai. La chaleur fulgurante du coup me laissa pantelante.

« Il est interdit de faire passer des mots en classe. »

Il donna un autre coup de règle. Je relâchai une respiration sifflante lorsqu’elle frappa un autre point.

« Qu’est-ce que tu as à dire à ça, Jane ? » demanda-t-il en assenant un nouveau coup.

La sensation était piquante et chaude, mais pas si douloureuse que ça. En réalité, elle ne faisait que m’exciter davantage. Il devait sûrement être capable de voir les effets que cette fessée avait sur moi.

La règle tomba sur le bureau avec un cliquetis.

Cette fois-ci, lorsqu’il me fessa, c’était avec sa main.

Je hoquetai.

« - Jane ?

- Non, monsieur. Je veux dire, oui, monsieur. » Je ne savais pas comment lui répondre. J’avais oublié la question quand la paume de sa main avait frappé ma chair tiède.

« - Est-ce que tu aimes être sur mon bureau comme ça ? Te faire punir par ton professeur, sale petite vilaine ?

- Oui, monsieur, » répondis-je. C’était la vérité et il le savait. Je ne serais pas là, sinon. Il ne me donnerait pas une fessée, sinon.

« Est-ce que tu aimes l’idée que n’importe qui pourrait entrer et voir à quel point tu es vilaine ? »

Je n’avais pas encore pensé aux autres, rien qu’à M. Parker. Je remuai sur le bureau, soudainement nerveuse.

« M. Park- » commençai-je, mais je fus interrompue lorsque son doigt passa le long de mes replis trempés et commença à faire des cercles autour de mon clitoris. Il commença doucement au début et les sensations s’accumulèrent en moi, jusqu’à ce qu’il accélère son rythme. « Pitié, doigtez-moi, » gémis-je et suppliai-je. « Je vous en prie, monsieur. » Je le voulais en moi.

« Patience, Jane, » dit-il, sans arrêter les mouvements de son doigt. « De grandes choses arrivent à qui sait attendre. Laisse-moi m’en occuper. »

Je fermai les yeux et acquiesçai. Il se pencha en avant, son torse contre mon dos. Nous étions désormais tous les deux penchés sur le bureau. « Avant même que tu t’en rendes compte, ma bite sera en toi, dedans, dehors, et je pourrais tout ressentir de toi. Mais te doigter ? Quelle idée cochonne. La première chose que tu sentiras dans ta chatte vierge sera ma bite. » Pour affirmer son point de vue, il frotta son pantalon contre mon cul tendre tandis que son doigt continuait à satisfaire mon clitoris.

Mes gémissements s’intensifièrent et il continua à se frotter contre moi. Je pouvais sentir l’accumulation de plaisir en moi, comme si quelque chose de fantastique allait arriver.

Je ne cessais de dire « encore » avec mes lèvres, et il ne s’arrêta pas une seule fois de bouger son doigt. Mon clitoris était gonflé et sensible sous ses attentions et ma chatte se sentait seule. Je n’avais jamais ressenti ça quand je m’étais caressée. J’en voulais davantage.

« Baisez-moi, pitié, » suppliai-je, lorsque les sensations devinrent trop insoutenables pour une vierge comme moi.

« Qu’est-ce que j’ai dit sur la patience, Jane ? » demanda-t-il. Sa main libre s’abattit sur mon cul et la sensation de picotement se mêla à mon désir. Il avait l’air à la fois sérieux et aguicheur. « Je m’occupe de tout. C’est bien ma classe, non, Jane ? »

Je hochai la tête.

« - Est-ce que c’est toi, le professeur ?

- Non. » Je ne saurais pas quoi faire, et encore moins guider quelqu’un. Bien joué, Jane. Je me réprimandai intérieurement.

« C’est bien ce que je pensais. » Il passa une main le long de l’arrière de ma cuisse dénudée et me fit frissonner.

«- Parce que c’est moi, ton professeur.

- Oui, monsieur. » La réponse vint sur mes lèvres naturellement.

On allait baiser ensemble – il fallait simplement que j’attende. On y arriverait, mais je le voulais maintenant. La chaleur de ma chatte était insoutenable et j’avais l’impression que j’allais devenir dingue.

« Bien, » dit-il en continuant à frotter ses doigts contre moi. Il se pencha en avant de sorte que je vois son visage. « Est-ce que tu es sûre de vouloir ça, Jane ? Que je te prenne ta virginité ? Une fois qu’on aura commencé, impossible de faire machine arrière. Tu seras à moi. »

À moi.

Je hochai la tête contre le bureau. « Oui. » Je répétai ma réponse, mais plus fort cette fois.

« - Oui, monsieur.

- Parfait. Est-ce que tu prends un contraceptif ? »

Il s’arrêta net quand je secouai la tête. « Non. J’ai amené un préservatif. »

Il me fessa de nouveau. « Tu es à moi, Jane. Et je veux te prendre sans rien. Je veux tout ressentir de toi lorsque j’enfoncerai ma bite jusqu’à mes boules en toi. »

Je gémis à l’idée de sa bite me pénétrant, peau contre peau, brisant cette fine barrière. Mais j’avais aussi peur. Je n’étais pas prête pour un bébé. Je n’étais pas prête à ça.

Son doigt passa sur l’entrée de ma chatte et fit des cercles autour.

« - On ne baisera pas aujourd’hui. Et on ne baisera pas avec un préservatif. Jamais. Je ne veux rien entre nous deux, affirma-t-il. Demain, tu iras chez le docteur pour qu’elle te fasse la piqûre.

- Oui, monsieur. » La surprise m’envahit, mêlée à du soulagement. On s’arrêtait là ? Est-ce que c’était un genre de préliminaires ? Un test ? Quoi ?

Il retira son doigt et recula. J’attendis un moment, puis me relevai du bureau. Lorsque je me retournai pour lui faire face, son regard tomba sur le creux de mes genoux, et je fis rapidement retomber ma jupe avant de tirer sur ma culotte pour la remettre.

« Enlève-la. »

Je relevai les yeux alors même que je la remontais, déglutis et changeai de direction. Je l’enlevai d’un pied, de l’autre, avant de la remettre dans la main qu’il tendait vers moi.

J’avais mal, j’avais besoin de lui et j’étais surexcitée lorsqu’il la fourra dans la poche de son pantalon. Mon cul me faisait mal de ma punition. Je me sentais… châtiée, et j’avais définitivement appris une bonne leçon. M. Parker n’allait jamais me laisser m’en sortir comme ça. J’avais aussi appris que de ne pas jouir était plus embêtant qu’une fessée.

Il y avait un peu de déception, en moi. Alors, on allait pas baiser aujourd’hui ? Est-ce qu’il m’en voulait d’être venue sans être préparée, de lui avoir dit qu’on utiliserait un préservatif ?

Mais toutes mes insécurités et mes questions s’envolèrent lorsqu’il me dit « Il y a d’autres moyens de se faire plaisir pour le moment… tellement, tellement d’autres moyens. »

Le sourire narquois et sexy qu’il me décocha m’excita tout autant qu’il me troubla.

Il fit le tour du bureau, tira sa chaise et s’assit.

« Je vais commencer par prendre la virginité de ta bouche, jeune fille. »

Je fis le tour du bureau pour le rejoindre et il défit la boucle de sa ceinture du bout du doigt. Lorsque je me tins entre ses genoux écartés – il me faisait face et le bureau se trouvait derrière moi – la paume de sa main prit ma joue en coupe de nouveau et je ne pus m’empêcher de me blottir plus proche de lui encore. Sa main était chaude et rugueuse, les mains d’un homme et je me sentais protégée.

Une grande partie de moi était nerveuse à l’idée ce qui allait arriver. J’avais vu suffisamment de films pornos pour savoir qu’il allait remplir et baiser ma bouche.

Lentement, je me mis à genoux devant lui.

« J’ai rêvé de te voir là, comme ça. Déboutonne mon pantalon. »

Je fis ce qu’il m’avait ordonné et il continua à parler.

« Je t’ai imaginée sous mon bureau, ta bouche sur moi, à sucer le sperme de mes boules. »

Je gémis à l’idée de lui faire ça pendant que les autres filles seraient assises à leur table pour leurs examens. Moi, je n’aurais pas d’examen écrit. Mes notes viendraient d’un examen oral.

Il y avait un sourire sur son visage – un mélange de joie et de taquinerie – mais ses yeux me regardaient tendrement. Je n’avais pas besoin de m’inquiéter ou de trop réfléchir. Rien qu’avec l’air dont il me regardait, je savais qu’aucun mal ne me serait fait.

Hésitantes, mes mains commencèrent à déboutonner la braguette de son pantalon tandis que mes yeux restaient fixés sur la bosse dur qui s’y trouvait. Il ne portait rien en-dessous.

« Jane... » Le son de mon nom me ramena à la réalité. « Tout va bien ? »

Je clignai des yeux, une fois, puis deux, puis relevai le regard sur l’homme devant moi pour le regarder à travers mes cils. Ma chatte pulsait. Je voulais – j’avais besoin – d’en ressentir plus, mais nous ne baiserions pas aujourd’hui. Je n’arrivais pas à croire que j’avais pu penser qu’on pourrait coucher ensemble avec des préservatifs. Il était bien plus expérimenté que ce que je n’aurais pu l’imaginer et je ne pouvais toujours pas croire qu’il veuille coucher avec moi. Rien que cette pensée m’excita davantage, si c’était encore possible.

« Dites-moi quoi faire, » dis-je tout simplement, et ses yeux s’adoucirent encore plus.

« Bien sûr, » répondit-il. Il prit ma main et la déposa sur la braguette ouverte. « Tu vas apprendre à sucer ma bite comme une bonne fille, d’accord ? »

Il respira lourdement quand ma main commença à aller de haut en bas, puis il sortit la bite de son pantalon. Je ne pus regarder que quelques secondes en hochant la tête. C’était la première fois que j’en voyais une pour de vrai, mais putain, sa bite était immense, même d’après des standards pornographiques. Il ne remarqua pas que j’accusais le coup, surprise ou, s’il le vit, il choisit de l’ignorer. À la place, il enroula mes doigts autour de sa longueur et commença à bouger ma main de haut en bas. En haut, en bas.

Je me léchai les lèvres.

« - Oui, monsieur.

- Tu peux commencer avec tes mains avant d’utiliser ta bouche, » me conseilla-t-il, ses mots lents et entrecoupés de gémissements de plaisir.

J’acquiesçai doucement et continuai à agiter ma main de haut en bas sur la longueur de sa bite, avant de laisser ma bouche passer juste sur son bout. Je déposai des baisers doux et rapides sur son gland et fus surprise quand elle tressaillit chaque fois que j’embrassais et que je suçotais. Rapidement, je pris confiance et commençai à prendre davantage de sa longueur dans ma bouche, de plus en plus profondément jusqu’à ce que je puisse retirer ma main. Le gémissement qui lui échappa était de la musique à mes oreilles. Il avait l’air de tout faire pour rester silencieux, mais c’était tout simplement impossible.

« Oh oui, Jane... » me dit-il, la tête rejetée en arrière et les yeux clos. « Cette petite bouche que tu as… tu sais vraiment comment t’en servir. Je savais que tu étais une bonne fille. »

Je ne me sentais pas comme une bonne fille. J’étais à genoux dans ma salle classe et le gland large de la bite de M. Parker touchait l’arrière de ma gorge. Je me demandai à quel point je pouvais l’avaler en moi, en faisant attention de respirer par le nez. De temps à autre, des sons d’étranglements m’échappaient, mais ça ne semblait pas le déranger. En fait, ça l’excitait encore davantage, comme ses mains accrochées dans mes cheveux en étaient la preuve.

« Oui, Jane… c’est parfait, » murmura-t-il, et ses mains guidaient les mouvements de ma tête, de haut en bas sur sa bite. « Tu es tellement parfaite. »

Avant que je comprenne ce qu’il se passait, je sentis sa bite tressaillir dans ma bouche et une marée de son sperme m’envahit. C’était salé. Ça avait son goût. Je me figeai instantanément tandis que ma bouche était inondée.

« Avale-le. »

Je le fis automatiquement, encore et encore pour tout avaler. Lorsque le flot s’épuisa, je retirai ma tête et pus voir qu’un peu de sperme coulait encore du bout de sa longueur encore dure. Je me hâtai de tout laper et m’assurai que rien ne reste. Quand mon regard se releva pour rencontrer le sien, je pus voir que M. Parker me fixait intensément. Il avait l’air pleinement satisfait.

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9783985222261
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