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LE CŒUR DU PITRE

 
Mon triste cœur bave à la poupe,
Mon cœur est plein de caporal:
Ils y lancent des jets de soupe,
Mon triste cœur bave à la poupe:
Sous les quolibets de la troupe
Qui pousse un rire général,
Mon triste cœur bave à la poupe,
Mon cœur est plein de caporal!
 
 
Ithyphalliques et pioupiesques
Leurs insultes l’ont dépravé!
À la vesprée ils font des fresques
Ithyphalliques et pioupiesques.
ô flots abracadabrantesques,
Prenez mon cœur qu’il soit sauvé:
Ithyphalliques et pioupiesques
Leurs insultes l’ont dépravé!
 
 
Quand ils auront tari leurs chiques,
Comment agir, à cœur volé?
Ce seront des refrains bachiques
Quand ils auront tari leurs chiques:
J’aurai des sursauts stomachiques
Si mon cœur triste est ravalé:
Quand ils auront tari leurs chiques
Comment agir à cœur volé?
 

Mai 1871

LES PAUVRES A L’EGLISE

 
Parqués entre des bancs de chêne, aux coins d’église
Qu’attiédit puamment leur souffle, tous leurs yeux
Vers le chœur ruisselant d’orne et la maîtrise
Aux vingt gueules gueulant les cantiques pieux;
 
 
Comme un parfum de pain humant l’odeur de cire,
Heureux, humiliés comme des chiens battus,
Les Pauvres au Bon Dieu, le patron et le sire,
Tendent leurs oremus risibles et têtus.
 
 
Aux femmes, c’est bien bon de faire des bancs lisses,
Après les six jours noirs où Dieu les fait souffrir!
Elles bercent, tordus dans d’étranges pelisses,
Des espèces d’enfants qui pleurent à mourir.
 
 
Leurs seins crasseux dehors, ces mangeuses de soupe,
Une prière aux yeux et ne priant jamais,
Regardent parader mauvaisement un groupe
De gamines avec leurs chapeaux déformés.
 
 
Dehors, le froid, la faim, l’homme en ribote:
C’est bon. Encore une heure; après, les maux sans noms!
– Cependant, alentour geint, nasille, chuchote
Une collection de vieilles à fanons:
 
 
Ces effarés y sont et ces épileptiques
Dont on se détournait hier aux carrefours;
Et, fringalant du nez dans des missels antiques,
Ces aveugles qu’un chien introduit dans les cours.
 
 
Et tous, bavant la foi mendiante et stupide,
Récitent la complainte infinie à Jésus
Qui rêve en haut, jauni par le vitrail livide,
Loin des maigres mauvais et des méchants pansus,
 
 
Loin de senteurs de viande et d’étoffes moisies,
Farce prostrée et sombre aux gestes repoussants;
– Et l’oraison fleurit d’expressions choisies,
Et les mysticités prennent des tons pressants,
 
 
Quand, des nefs où périt le soleil, plis de soie
Banals, sourires verts, les Dames des quartiers
Distingués, – à Jésus! – les malades du foie
Font baiser leurs longs doigts jaunes aux bénitiers.
 

1871

LES MAINS DE JEANNE-MARIE

 
Jeanne-Marie a des mains fortes,
Mains sombres que l’été tanna,
Mains pâles comme des mains mortes.
– Sont-ce des mains de Juana?
 
 
Ont-elles pris les crèmes brunes
Sur les mares des voluptés?
Ont-elles trempé dans des lunes
Aux étangs de sérénités?
 
 
Ont-elles bu des cieux barbares,
Calmes sur les genoux charmants?
Ont-elles roulé des cigares
Ou trafiqué des diamants?
 
 
Sur les pieds ardents des Madones
Ont-elles fané des fleurs d’or?
C’est le sang noir des belladones
Qui dans leur paume éclate et dort.
 
 
Mains chasseresses des diptères
Dont bombinent les bleuisons
Aurorales, vers les nectaires?
Mains décanteuses de poisons?
 
 
Oh! quel Rêve les a saisies
Dans les pandiculations?
Un rêve inouï des Asies,
Des Khenghavars ou des Sions?
 
 
– Ces mains n’ont pas vendu d’oranges,
Ni bruni sur les pieds des dieux:
Ces mains n’ont pas lavé les langes
Des lourds petits enfants sans yeux.
 
 
Ce ne sont pas mains de cousine
Ni d’ouvrières aux gros fronts
Que brûle, aux bois puant l’usine,
Un soleil ivre de goudrons.
 
 
Ce sont des ployeuses d’échines,
Des mains qui ne font jamais mal,
Plus fatales que des machines,
Plus fortes que tout un cheval!
 
 
Remuant comme des fournaises,
Et secouant tous ses frissons,
Leur chair chante des Marseillaises
Et jamais les Eleisons!
 
 
Ça serrerait vos cous, à femmes
Mauvaises, ça broierait vos mains,
Femmes nobles, vos mains infâmes
Pleines de blancs et de carmins.
 
 
L’éclat de ces mains amoureuses
Tourne le crâne des brebis!
Dans leurs phalanges savoureuses
Le grand soleil met un rubis!
 
 
Une tache de populace
Les brunit comme un sein d’hier;
Le dos de ces Mains est la place
Qu’en baisa tout Révolté fier!
 
 
Elles ont pâli, merveilleuses,
Au grand soleil d’amour chargé,
Sur le bronze des mitrailleuses
À travers Paris insurgé!
 
 
Ah! quelquefois, à Mains sacrées,
À vos poings, Mains où tremblent nos
Lèvres jamais désenivrées,
Crie une chaîne aux clairs anneaux!
 
 
Et c’est un soubresaut étrange
Dans nos êtres, quand, quelquefois,
On veut vous déhâler, Mains d’ange,
En vous faisant saigner les doigts!
 

LES SŒURS DE CHARITE

 
Le jeune homme dont l’œil est brillant, la peau brune,
Le beau corps de vingt ans qui devrait aller nu,
Et qu’eût, le front cerclé de cuivre, sous la lune
Adoré, dans la Perse, un Génie inconnu,
 
 
Impétueux avec des douceurs virginales
Et noires, fier de ses premiers entêtements,
Pareil aux jeunes mers, pleurs de nuits estivales
Qui se retournent sur des lits de diamants;
 
 
Le jeune homme, devant les laideurs de ce monde
Tressaille dans son cœur largement irrité,
Et plein de la blessure éternelle et profonde,
Se prend à désirer sa sœur de charité.
 
 
Mais, à Femme, monceau d’entrailles, pitié douce,
Tu n’es jamais la sœur de charité, jamais,
Ni regard noir ni ventre où dort une ombre rousse,
Ni doigts légers, ni seins splendidement formés.
 
 
Aveugle irréveillée aux immenses prunelles,
Tout notre embrassement n’est qu’une question:
C’est toi qui pends à nous, porteuse de mamelles,
Nous te berçons, charmante et grave Passion.
 
 
Tes haines, tes torpeurs fixes, tes défaillances,
Et les brutalités souffertes autrefois,
Tu nous rends tout, à Nuit pourtant sans malveillances,
Comme un excès de sang épanché tous les mois.
 
 
– Quand la femme, portée un instant, l’épouvante,
Amour appel de vie et chanson d’action,
Viennent la Muse verte et la Justice ardente
Le déchirer de leur auguste obsession.
 
 
Ah! sans cesse altéré des splendeurs et des calmes,
Délaissé des deux Sœurs implacables, geignant
Avec tendresse après la science aux bras almes,
Il porte à la nature en fleur son front saignant.
 
 
Mais la noire alchimie et les saintes études
Répugnent au blessé, sombre savant d’orgueil;
Il sent marcher sur lui d’atroces solitudes.
Alors, et toujours beau, sans dégoût du cercueil,
 
 
Qu’il croie aux vastes fins, Rêves ou Promenades
Immenses, à travers les nuits de Vérité,
Et t’appelle en son âme et ses membres malades,
ô Mort mystérieuse, à sœur de charité!
 

Juin 1871

VOYELLES

 
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu: voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes:
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
 
 
Golfes d’ombre; E, candeurs des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d’ombelles;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes;
 
 
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d’animaux, paix des rides
Que l’alchimie imprime aux grands fronts studieux;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silences traversés des Mondes et des Anges:
– O l’Oméga, rayon violet de Ses Yeux!
 

L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles

 
L’étoile a pleuré rose au cœur de tes oreilles,
L’infini roulé blanc de ta nuque à tes reins
La mer a perlé rousse à tes mammes vermeilles
Et l’Homme saigné noir à ton flanc souverain.
 

Le Juste restait droit sur ses hanches solides

 
Le Juste restait droit sur ses hanches solides:
Un rayon lui dorait l’épaule; des sueurs
Me prirent: «Tu veux voir rutiler les bolides?
Et, debout, écouter bourdonner les flueurs
D’astres lactés, et les essaims d’astéroïdes?
 
 
«Par des farces de nuit ton front est épié,
ô Juste! Il faut gagner un toit. Dis ta prière,
La bouche dans ton drap doucement expié;
Et si quelque égaré choque ton ostiaire,
Dis: Frère, va plus loin, je suis estropié!»
 
 
Et le Juste restait debout, dans l’épouvante
Bleuâtre des gazons après le soleil mort:
«Alors, mettrais-tu tes genouillères en vente,
ô vieillard? Pèlerin sacré! Barde d’Armor!
Pleureur des Oliviers! Main que la pitié gante!
 
 
«Barbe de la famille et poing de la cité,
Croyant très doux: à cœur tombé dans les calices,
Majestés et vertus, amour et cécité,
Juste! plus bête et plus dégoûtant que les lices.
Je suis celui qui souffre et qui s’est révolté!
 
 
«Et ça me fait pleurer sur mon ventre, à stupide,
Et bien rire, l’espoir fameux de ton pardon!
Je suis maudit, tu sais! Je suis soûl, fou, livide,
Ce que tu veux! Mais va te coucher voyons donc,
Juste! Je ne veux rien à ton cerveau torpide.
 
 
«C’est toi le Juste, enfin, le Juste! C’est assez!
C’est vrai que ta tendresse et ta raison sereines
Reniflent dans la nuit comme des cétacés!
Que tu te fais proscrire, et dégoises des thrènes
Sur d’effroyables becs de canne fracassés!
 
 
«Et c’est toi l’œil de Dieu! le lâche! Quand les plantes
Froides des pieds divins passeraient sur mon cou,
Tu es lâche! ô ton front qui fourmille de lentes!
Socrates et Jésus, Saints et Justes, dégoût!
Respectez le Maudit suprême aux nuits sanglantes!»
 
 
J’avais crié cela sur la terre, et la nuit
Calme et blanche occupait les cieux pendant ma fièvre.
Je relevai mon front: le fantôme avait fui,
Emportant l’ironie atroce de ma lèvre…
– vents nocturnes, venez au Maudit! Parlez-lui!
 
 
Cependant que, silencieux sous les pilastres
D’azur, allongeant les comètes et les nœuds
D’univers, remuement énorme sans désastres,
L’ordre, éternel veilleur, rame aux cieux lumineux
Et de sa drague en feu laisse filer les astres!
 
 
Ah! qu’il s’en aille, lui, la gorge cravatée
De honte, ruminant toujours mon ennui, doux
Comme le sucre sur la denture gâtée.
– Tel que la chienne après l’assaut des fiers toutous,
Léchant son flanc d’où pend une entraille emportée.
 
 
Qu’il dise charités crasseuses et progrès…
– J’exècre tous ces yeux de chinois à bedaines,
Puis qui chante: nana, comme un tas d’enfants près
De mourir, idiots doux aux chansons soudaines:
ô Justes, nous chierons dans vos ventres de grès!
 

CE QU’ON DIT AU POETE A PROPOS DE FLEURS

A Monsieur Théodore de Banville


I
 
Ainsi, toujours, vers l’azur noir
Où tremble la mer des topazes,
Fonctionneront dans ton soir
Les Lys, ces clystères d’extases!
 
 
À notre époque de sagous
Quand les Plantes sont travailleuses,
Le Lys boira les bleus dégoûts
Dans tes Proses religieuses!
 
 
– Le lys de monsieur de Kerdrel
Le Sonnet de mil huit cent trente,
Le Lys qu’on donne au Ménestrel
Avec l’œillet et l’amarante!
 
 
Des lys! Des lys! On n’en voit pas!
Et dans ton Vers, tel que les manches
Des Pécheresses aux doux pas,
Toujours frissonnent ces fleurs blanches!
 
 
Toujours, Cher, quand tu prends un bain,
Ta chemise aux aisselles blondes
Se gonfle aux brises du matin
Sur les myosotis immondes!
 
 
L’amour ne passe à tes octrois
Que les Lilas, – à balançoires!
Et les Violettes du Bois,
Crachats sucrés des Nymphes noires!..
 
II
 
ô Poètes, quand vous auriez
Les Roses, les Roses soufflées,
Rouges sur tiges de lauriers,
Et de mille octaves enflées!
 
 
Quand BANVILLE en ferait neiger
Sanguinolentes, tournoyantes,
Pochant l’œil fou de l’étranger
Aux lectures mal bienveillantes!
 
 
De vos forêts et de vos prés,
ô très paisibles photographes!
La Flore est diverse à peu près
Comme des bouchons de carafes!
 
 
Toujours les végétaux Français,
Hargneux, phtisiques, ridicules,
Où le ventre des chiens bassets
Navigue en paix, aux crépuscules;
 
 
Toujours, après d’affreux dessins
De Lotos bleus ou d’Hélianthes,
Estampes roses, sujets saints
Pour de jeunes communiantes!
 
 
L’Ode Açoka cadre avec la
Strophe en fenêtre de lorette;
Et de lourds papillons d’éclat
Fientent sur la Pâquerette.
 
 
Vieilles verdures, vieux galons!
ô croquignoles végétales!
Fleurs fantasques des vieux Salons!
– Aux hannetons, pas aux crotales,
 
 
Ces poupards végétaux en pleurs
Que Grandville eût mis aux lisières,
Et qu’allaitèrent de couleurs
De méchants astres à visières!
 
 
Oui, vos bavures de pipeaux
Font de précieuses glucoses!
– Tas d’œufs frits dans de vieux chapeaux,
Lys, Açokas, Lilas et Roses!..
 
III
 
blanc Chasseur qui cours sans bas
A travers le Pâtis panique,
Ne peux-tu pas, ne dois-tu pas
Connaître un peu ta botanique?
 
 
Tu ferais succéder je crains,
Aux Grillons roux les Cantharides,
L’or des Rios au bleu des Rhins, —
Bref, aux Norwèges les Florides:
 
 
Mais, Cher l’An n’est plus, maintenant,
– C’est la vérité, – de permettre
À l’Eucalyptus étonnant
Des constrictors d’un hexamètre;
 
 
Là!.. Comme si les Acajous
Ne servaient, même en nos Guyanes,
Qu’aux cascades des sapajous,
Au lourd délire des lianes!
 
 
– En somme, une Fleur Romarin
Ou Lys, vive ou morte, vaut-elle
Un excrément d’oiseau marin?
Vaut-elle un seul pleur de chandelle?
 
 
– Et j’ai dit ce que je voulais!
Toi, même assis là-bas, dans une
Cabane de bambous, – volets
Clos, tentures de perse brune, —
 
 
Tu torcherais des floraisons
Dignes d’oises extravagantes!..
– Poète! ce sont des raisons
Non moins risibles qu’arrogantes!..
 
IV
 
Dis, non les pampas printaniers
Noirs d’épouvantables révoltes,
Mais les tabacs, les cotonniers!
Dis les exotiques récoltes!
 
 
Dis, front blanc que Phébus tanna,
De combien de dollars se rente
Pedro Velasquez, Habana;
Incague la mer de Sorrente
 
 
Où vont les Cygnes par milliers;
Que tes strophes soient des réclames
Pous l’abatis des mangliers
Fouillés des hydres et des lames!
 
 
Ton quatrain plonge aux bois sanglants
Et revient proposer aux Hommes
Divers sujets de sucres blancs,
De pectoraires et de gommes!
 
 
Sachons par Toi si les blondeurs
Des Pics neigeux, vers les Tropiques,
Sont ou des insectes pondeurs
Ou des lichens microscopiques!
 
 
Trouve, à Chasseur, nous le voulons,
Quelques garances parfumées
Que la Nature en pantalons
Fasse éclore! – pour nos Armées!
 
 
Trouve, aux abords du Bois qui dort,
Les fleurs, pareilles à des mufles,
D’où bavent des pommades d’or
Sur les cheveux sombres des Buffles!
 
 
Trouve, aux prés fous, où sur le Bleu
Tremble l’argent des pubescences,
Des calices pleins d’Œufs de feu
Qui cuisent parmi les essences!
 
 
Trouve des Chardons cotonneux
Dont dix ânes aux yeux de braises
Travaillent à filer les nœuds!
Trouve des Fleurs qui soient des chaises!
 
 
Oui, trouve au cœur des noirs filons
Des fleurs presque pierres, – fameuses! —
Qui vers leurs durs ovaires blonds
Aient des amygdales gemmeuses!
 
 
Sers-nous, à Farceur tu le peux,
Sur un plat de vermeil splendide
Des ragoûts de Lys sirupeux
Mordant nos cuillers Alfénide!
 
V
 
Quelqu’un dira le grand Amour,
Voleur des sombres Indulgences:
Mais ni Renan, ni le chat Murr
N’ont vu les Bleus Thyrses immenses!
 
 
Toi, fais jouer dans nos torpeurs,
Par les parfums les hystéries;
Exalte-nous vers des candeurs
Plus candides que les Maries…
Commerçant! colon! médium!
 
 
Ta Rime sourdra, rose ou blanche,
Comme un rayon de sodium,
Comme un caoutchouc qui s’épanche!
De tes noirs Poèmes, – Jongleur!
 
 
Blancs, verts, et rouges dioptriques,
Que s’évadent d’étranges fleurs
Et des papillons électriques!
Voilà! c’est le Siècle d’enfer!
 
 
Et les poteaux télégraphiques
Vont orner, – lyre aux chants de fer,
Tes omoplates magnifiques!
Surtout, rime une version
 
 
Sur le mal des pommes de terre!
– Et, pour la composition
De Poèmes pleins de mystère
Qu’on doive lire de Tréguier
 
 
À Paramaribo, rachète
Des Tomes de Monsieur Figuier
– Illustrés! – chez Monsieur Hachette!
Alcide Bava
A. R.
 

14 juillet 1871

Возрастное ограничение:
12+
Дата выхода на Литрес:
30 августа 2016
Объем:
70 стр. 1 иллюстрация
Правообладатель:
Public Domain

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