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DES PERSPECTIVES POUR LES PERSONNES VULNÉRABLES

Les petits prêts auprès de banques locales changent la donne pour les agriculteurs africains

Par Hannah Siedek et Enrico Pini

Il y a environ 450 millions de petits exploitants agricoles en Afrique. La microfinance et la banque mobile peuvent être d’une grande aide pour cette catégorie de population. La vie est beaucoup plus facile pour les agriculteurs des zones rurales lorsqu’ils peuvent obtenir aisément un prêt et bénéficier de bons conseils financiers. Les propriétaires de petites entreprises peuvent se procurer des fonds qu’ils n’obtiendraient pas auprès des banques traditionnelles. La microfinance aide les gens à se constituer une épargne de précaution ou à mettre sur pied une entreprise. Elle peut être le point de départ d’une meilleure agriculture, car les Africains peuvent planter des cultures plus performantes, avoir une maison plus confortable et gagner plus d’argent pour rembourser ces petits prêts.

Les téléphones portables sont répandus dans les zones rurales d’Afrique, bien plus que les agences bancaires. Dans les régions où l’agriculture est l’activité principale, les services bancaires mobiles (ou argent mobile) représentent une solution formidable de nature à améliorer cet aspect de l’économie. Malheureusement, de nombreux agriculteurs redoutent qu’il soit difficile de disposer d’un compte bancaire en ligne ou de réaliser des opérations bancaires à partir d’un téléphone portable. Les chargés de prêt des organismes de microfinance peuvent jouer un rôle à cet égard en expliquant les conditions financières et en montrant à quel point il est facile d’utiliser des services bancaires de ce type.

Comme les petits exploitants ne tiennent généralement pas de registres officiels de leurs récoltes et de leurs finances, les chargés de prêt ont du mal à obtenir des documents détaillés et à déterminer si la personne est admissible à un prêt. Le chargé de prêt de l’organisme de microfinance doit avoir une bonne compréhension de l’exploitation et de l’activité et avoir confiance en la capacité de l’exploitant à réaliser des bénéfices. Le manque de garanties représente une autre difficulté pour lui. Un canapé, un poste de télévision, des meubles de cuisine, du bétail voire du bois peuvent constituer une garantie pour un prêt. Dans certaines régions, où le principal bien de valeur est le bétail, l’absence de garanties adéquates constitue un obstacle majeur à l’obtention d’un prêt.

PRIDE Microfinance, un organisme de prêt basé à Kampala et agréé par la Banque d’Ouganda, compense le problème des garanties en offrant formation et conseils. PRIDE est active dans la microfinance depuis 1995 et a accordé des millions d’euros de prêts à des milliers de personnes sur tout le territoire ougandais. Elle propose des services bancaires mobiles, des microcrédits et des formations pour faire en sorte que les entrepreneurs puissent gérer leur entreprise de manière satisfaisante, mais aussi acheter des semences, des pesticides, des engrais et d’autres produits agricoles. Les chargés de prêt sensibilisent les agriculteurs à des pratiques écologiques et efficaces et leur accordent même des prêts pour payer les frais de scolarité de leurs enfants. PRIDE collabore avec l’Office ougandais de développement du café pour promouvoir les prêts collectifs dans le secteur du café, qui revêt une grande importance. En 2019, la Banque européenne d’investissement a accordé à PRIDE un prêt de 5 millions d’euros pour renforcer son programme de microfinance. Au cours des dix dernières années, nous avons accordé dans le cadre de nos mécanismes de microfinance 300 millions d’euros à plus de 1,5 million de bénéficiaires, dont des micro-entrepreneurs, de petites entreprises et de petits exploitants agricoles.

Hannah Siedek et Enrico Pini sont chargés de prêt spécialisés dans la microfinance à la Banque européenne d’investissement.

DES FRAISES SOUS GARANTIE

Les agro-entrepreneurs géorgiens se préparent à la récolte. Avec un petit coup de pouce de l’Union européenne

Il y a cinq ans, Levan Shanava et Tornike Mzhavanadze ont fondé Green Republic, une entreprise agroalimentaire dont les cultures se situent à Toki, un village ancien et isolé, peuplé par seulement dix familles. Bien que la région soit frappée de plein fouet par le chômage, ils sont tous deux déterminés à redynamiser Toki grâce à la culture des fraises. Green Republic est le seul producteur de fraises à grande échelle en zone montagneuse. Outre quatre salariés permanents, elle emploie plus de 30 saisonniers et entend créer des postes supplémentaires à l’avenir. L’entreprise a suscité l’intérêt du secteur de l’agrotourisme et pourrait également se développer davantage en 2021 pour exporter ses produits. En plus des fraises, Green Republic vend, lorsque c’est la saison, des asperges sauvages certifiées bio. L’entreprise produit des légumes en ayant recours à une agriculture traditionnelle et biologique. Ses produits « organiques » sont inspectés par une agence géorgienne d’accréditation dans le respect des normes européennes.

Pour se lancer dans cette aventure, les fondateurs ont contracté un prêt auprès de TBC Bank, l’une des principales banques géorgiennes. Les banques considèrent souvent les petites et moyennes entreprises (PME) comme risquées, car elles ne présentent pas toujours d’historique ou de sûretés. Mais un instrument de garantie géré par le Fonds européen d’investissement, la filiale du Groupe BEI axée sur les PME, joue le rôle d’une sûreté pour la banque locale, compensant ainsi le risque. « Le partage des risques implique le transfert des avantages au client via des taux d’intérêt plus bas », explique Maia Kacharava, directrice financière chez TBC Bank. « Cela facilite les procédures de prêt et nous permet d’étoffer notre portefeuille avec des projets intéressants qui sinon auraient pu être refusés. »

La garantie est l’un des trois volets de l’initiative Accord de libre-échange approfondi et complet (ALEAC) – Est, qui vise à encourager la croissance économique dans des pays partenaires comme la Géorgie. « La garantie de l’ALEAC est solide, car elle couvre 70 % des pertes », déclare Martins Jansons, responsable du centre de compétences pour le développement régional au Fonds européen d’investissement. « C’est une grande avancée pour le marché géorgien comme pour nous, car nous estimons qu’il est important de soutenir les pays aux frontières de l’Union européenne. »

Le Fonds européen d’investissement gère également le volet Garanties pour les PME du dispositif InnovFin, dont TBC Bank est l’une des banques bénéficiaires. Ce type de garantie offre des conditions de financement souples aux PME et entreprises de taille intermédiaire (ETI) spécialisées dans la recherche et l’innovation.

Depuis 2018, TBC Bank a également signé avec la Banque européenne d’investissement des prêts d’un montant de 81 millions d’euros. Parmi ces derniers figure le prêt complémentaire de 25 millions d’euros signé en décembre 2020 au titre des initiatives de l’UE, équipe d’Europe et EU4Business, dans le cadre de la réponse d’urgence pour aider les PME à faire face au COVID-19. Le financement de ces prêts et garanties émane de la Commission européenne dans le cadre du mandat de prêt extérieur de l’UE, un accord-cadre couvrant la plupart des opérations du Groupe BEI en Géorgie.

DES DÉBOUCHÉS POUR LES SEMIS

L’agriculture moldave est presque exclusivement composée de petites et moyennes entreprises. Le financement de la BEI les a aidées être compétitives à l’échelle nationale et à diversifier leurs exportations

Deux sociétés moldaves, Sandunelu et Europlant, ont vu l’occasion de développer le marché des légumes, mais, pour ce faire, elles avaient besoin d’un financement. Les capitaux nécessaires à l’augmentation de la production et à l’achat d’équipements pour le lavage, le tri, l’emballage, l’étiquetage et le stockage des légumes en vrac ne sont pas à la portée des petites entreprises qui ne disposent pas des garanties requises pour l’obtention d’un prêt. Petites exploitations agricoles, elles ont bénéficié du programme Fruit Garden of Moldova, qui finance des entreprises en passant par des banques intermédiaires. Le financement de la BEI leur a permis de doper leur activité et les a aidées à sortir de la crise due à la pandémie de COVID-19.

L’année 2020 a été difficile pour les producteurs moldaves, car ils ont souffert d’un épisode de sécheresse ainsi que de la pandémie. Sur une année normale, on compte en moyenne 552 mm de précipitations, mais seulement 218 mm sont tombés entre septembre 2019 et août 2020. En raison de la crise sanitaire, les agriculteurs peinaient davantage à mettre leur production sur le marché quand elle était fraîche et ils étaient soumis à des restrictions à l’exportation. « La pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif majeur sur le secteur de l’agriculture et de l’horticulture en Moldavie », explique Sébastien Collot, ingénieur de la division Bioéconomie de la BEI. « Les bénéficiaires du programme Fruit Garden of Moldova ont connu moins de retards et ont pu miser sur de nouveaux produits. »

Grâce à la modernisation de leurs installations de traitement, Sandunelu et Europlant ont été en mesure de faire face à la pandémie de COVID-19. Alors que les marchés de rue étaient fermés dans toute la Moldavie, les clients ont privilégié les légumes emballés. Les deux sociétés ont vu leurs ventes progresser pendant la pandémie, car elles ont pu répondre à la demande grâce à une technologie de pointe pour le tri et le conditionnement ainsi qu’à une capacité de stockage des légumes suffisante. Les employés pouvaient également maintenir une distance de sécurité adéquate les uns avec les autres.

Grâce à l’assistance technique de la BEI, les conseillers chargés du projet ont guidé les agriculteurs et les autres acteurs de la chaîne de valeur horticole, tout au long de la procédure de demande de prêt. Le projet Fruit Garden of Moldova a généré des niveaux d’investissement records parmi les petites entreprises de l’alimentation et de l’agriculture. La quantité de produits vendus à l’Union européenne cette année a considérablement augmenté, malgré la pandémie et la sécheresse.

Sandunelu, qui cultive des carottes, des oignons et des betteraves, a reçu 492 000 euros de Mobiasbanca, avec l’appui de la Banque européenne d’investissement. L’entreprise a également bénéficié de conseils qui lui ont permis de préparer les documents à fournir pour le prêt. Europlant, qui cultive des oignons et des pommes de terre, a obtenu, par l’intermédiaire de ProCredit Bank, 720 000 euros de la BEI pour la construction d’un entrepôt à proximité de Chisinau, la capitale de la Moldavie. Elle a bénéficié d’une garantie couvrant 50 % de son prêt sans frais supplémentaires pour elle en tant qu’emprunteur.

Le programme Fruit Garden of Moldova est axé sur l’horticulture afin d’améliorer la qualité des produits frais et transformés, des champs à la livraison. Il s’inscrit dans le cadre du soutien de l’Union européenne à la Moldavie et vise à stimuler la croissance des échanges commerciaux et de l’économie, y compris l’agriculture et le développement rural.

L’IMPACT À LA LOUPE

Partout dans le monde, des projets qui ont bénéficié d’un soutien de la Banque européenne d’investissement ont une incidence sur la vie quotidienne des citoyens. Avant cela, l’intervention de la BEI aura également eu une réelle influence sur la réussite des projets en question. C’est pourquoi, outre les résultats des opérations, qui sont évalués rigoureusement tout au long du cycle du projet, la valeur ajoutée apportée par la BEI au projet, que ce soit sous la forme d’avantage financier, d’effet de catalyseur ou d’appui technique, est également examinée avec soin.

Afin d’obtenir un tableau aussi complet que possible, nous combinons trois approches pour évaluer notre impact. Pour commencer, chaque projet fait l’objet d’un suivi systématique de ses résultats et de la contribution de la BEI. Pour certains projets et instruments, des études approfondies sont en outre réalisées afin de permettre une compréhension plus détaillée de l’incidence. Enfin, une modélisation macroéconomique est appliquée pour mieux rendre compte de l’impact économique au sens large des prêts de la BEI.

CETTE PARTIE LIVRE UNE PRÉSENTATION DÉTAILLÉE DE TOUT CE QUI ENTRE EN LIGNE DE COMPTE POUR ÉVALUER LA CONTRIBUTION DE LA BEI ET LES RETOMBÉES DES PROJETS, C’EST-À-DIRE :

55 NOTRE MÉTHODE POUR ÉVALUER LES RÉSULTATS ET L’IMPACT

57 LES RÉSULTATS QUE NOUS ATTENDONS DES PROJETS NOUVEAUX

60 LA CONTRIBUTION DE LA BEI AUX PROJETS NOUVEAUX

62 LE CALCUL DE L’EMPREINTE CARBONE

63 LA MODÉLISATION DE L’IMPACT MACROÉCONOMIQUE

64 LES RÉSULTATS DES PROJETS MENÉS À TERME

67 LES ÉTUDES D’IMPACT APPROFONDIES

69 LES VOLUMES DE PRÊT

NOTRE MÉTHODE POUR ÉVALUER LES RÉSULTATS ET L’IMPACT

Une évaluation minutieuse de la contribution de la BEI et de l’incidence des projets qu’elle soutient est essentielle. Elle est très utile pour identifier les projets à fort impact, dans lesquels l’intervention de la BEI peut faire une grande différence et qui sont en adéquation avec les objectifs stratégiques de l’UE et avec les besoins et priorités d’investissement recensés pour chaque pays. La Banque s’en sert pour affiner son soutien et ainsi gagner en efficacité, mais aussi pour rendre compte à toutes ses parties prenantes des avantages concrets de son action dans le monde.

Cette fonction centrale de l’institution de financement du développement que constituent l’évaluation et le suivi des résultats est intégrée dans le processus global d’instruction et de suivi des projets de la Banque, par le biais du Cadre de mesure de l’additionnalité et de l’impact (le « cadre MAI ») de la BEI. Pour certains projets, la fonction va plus loin, avec des études approfondies impliquant un niveau d’analyse de l’impact qu’il n’est pas possible de mettre en œuvre pour tous les projets. Enfin, le recours à la modélisation macroéconomique permet d’avoir une idée des effets indirects généraux des opérations de la Banque sur l’emploi et la croissance dans les économies où elle intervient.

Le cadre MAI pour évaluer les résultats tout au long du cycle du projet

En 2020, la BEI a commencé à mettre en œuvre le cadre MAI , harmonisant le cadre de mesure des résultats (« REM ») pour les opérations hors de l’UE et la méthode d’évaluation selon les trois piliers (« 3P ») pour les opérations dans l’UE, mais laissant la possibilité d’adapter l’instruction et le suivi des projets aux besoins particuliers découlant des différents contextes de développement.

La mesure de l’additionnalité et de l’impact fournit un cadre complet pour évaluer chaque projet soutenu par la BEI au regard de ses résultats et de son aptitude à remédier aux défaillances du marché (son « additionnalité »), conformément aux meilleures pratiques internationales. Le cadre MAI suit une logique établie, reposant sur trois piliers et qui consiste à se demander pourquoi l’intervention de la BEI est nécessaire, à quoi le projet servira et en quoi la BEI changera la donne. Ces trois piliers ont une relation conceptuelle avec les différents éléments de la chaîne des résultats.

Le cadre MAI et la chaîne des résultats


Le cadre joue un rôle essentiel dans l’optique de l’efficacité du développement et d’une gestion axée sur les résultats (pilotage, conception, mise en œuvre, compte rendu et acquisition de connaissances). Dans la procédure d’audit préalable, chacun des trois piliers reçoit une note servant à déterminer la valeur ajoutée de l’opération. Ces notes constituent par la suite un élément clé de la délibération. Les indicateurs de résultat retenus dans la phase d’instruction du projet forment la base du suivi tout au long du cycle du projet. Lors de l’instruction, en effet, la BEI estime les résultats que le projet devrait atteindre. Ces indicateurs font l’objet d’un suivi qui permet d’étudier les résultats à l’achèvement. Les enseignements tirés du suivi des résultats sont intégrés à la mise en œuvre des projets. Les évaluations indépendantes permettent également de tirer des enseignements pour les projets et processus futurs.

Le cadre MAI est inspiré par l’alignement sur les politiques de l’UE s’appliquant aux pays et régions d’intervention de la BEI et la contribution à la réalisation des objectifs de développement durable. Mais il est souple et conçu pour accueillir de nouveaux indicateurs en fonction des besoins qui apparaîtront.

Mesurer l’impact au-delà des limites du cadre

Si la mesure de l’additionnalité et de l’impact constitue le fondement de l’approche globale de l’évaluation de l’impact, les évaluateurs et les équipes de recherche sortent parfois de ce cadre élémentaire pour effectuer une analyse approfondie de l’incidence finale des projets soutenus par la Banque.

Les études d’impact approfondies examinent les résultats des projets de manière beaucoup plus détaillée, allant au-delà de ce que permet le cadre normal de l’évaluation des résultats. Ces études utilisent diverses méthodes pour approfondir l’analyse de l’incidence d’un projet particulier ou d’un type de produit proposé par le Groupe BEI.

La modélisation macroéconomique permet de se rendre compte des effets des opérations de prêt de la BEI sur l’emploi et sur le PIB à l’échelle des économies, de façon à pouvoir en déterminer l’ampleur probable pour un projet donné. Nous nous assurons ainsi, une fois de plus, que nous comprenons bien quel impact un projet a in fine sur la vie des gens.

LES RÉSULTATS QUE NOUS ATTENDONS DES PROJETS NOUVEAUX

En 2020, la Banque européenne d’investissement a signé 99 contrats de financement pour des projets nouveaux hors de l’Union européenne, du Royaume-Uni et de l’Association européenne de libre-échange (AELE). Le total des prêts approuvés pour ces nouveaux projets (à l’exclusion des nouveaux contrats signés dans le cadre de projets anciens) s’élève à 10,52 milliards d’euros. Les tableaux ci-après résument les réalisations et les résultats globaux attendus de ces nouvelles opérations de la BEI.

Résultats attendus des nouvelles opérations signées dans le secteur des infrastructures


Réalisations escomptéesRésultats escomptés
Énergie – 11 projets, 506 Mio EUR
Capital-risqueCapacités de production (100 % sources renouvelables)245 MWProduction annuelle d’électricité (GWh/an)647
Lignes d’électricité neuves ou mises à niveau13 600 kmMénages potentiellement desservis en électricité produite1 070 000
Puissance apparente des sous-stations neuves ou mises à niveau (MVA)593Nouveaux raccordements domestiques au réseau336 000
Économies annuelles générées par les mesures d’efficacité énergétiqueGWh
Transports – 8 projets, 2 634 Mio EUR
Transports urbainsLignes de tram et de métro nouvelles ou rénovées32,4 kmVoyageurs supplémentaires transportés en agglomération, par an116 000 000
Stations ou arrêts nouveaux ou rénovés (en agglomération)30Réduction des temps de parcours en agglomération (heures/an)37 500 000
Matériel roulant ou véhicules neufs378
Transport routierVoies de circulation nouvelles ou rénovées120 kmUsagers (véhicules) supplémentaires, par jour3 910
Gains de temps de parcours (heures/an)4 060 000
Économies de coût d’exploitation des véhicules, par an16,2 Mio EUR
Morts évitées sur les routes, par an5
Eau et assainissement – 15 projets, 963 Mio EUR
Approvisionnement en eauBranchements domestiques réalisés ou refaits60 100Personnes bénéficiant d’un meilleur approvisionnement en eau6 200 000
Conduites principales et canalisations nouvelles ou remises en état1 030 kmPersonnes moins exposées au risque de sécheresse5 380 000
Capacité des installations de traitement nouvelles ou rénovées (m3/jour)1 140 000
AssainissementCapacité des installations d’épuration nouvelles ou rénovées (équivalent-personnes)546 000Personnes bénéficiant de meilleurs services d’assainissement201 000
Raccordements domestiques à l’assainissement réalisés ou refaits8 600Eaux usées traitées selon des normes acceptables (équivalent-personnes)214 000
Conduites d’égout ou d’évacuation des eaux pluviales nouvelles ou rénovées184 km
Atténuation des inondationsNombre de structures de prévention des inondations et de protection contre leurs effets43Superficie couverte par les équipements de prévention des inondations51 300 ha
Personnes moins exposées aux risques d’inondation843 000
Aménagement urbain et logement – 3 projets, 574 Mio EUR
Linéaire de voiries urbaines et aménagements connexes construits ou rénovés104 kmPersonnes bénéficiant de logements neufs abordables13 600
Logements sociaux ou abordables nouveaux ou rénovés4 140Économies annuelles générées par les mesures d’efficacité énergétique257 GWh
Nombre de bâtiments publics rénovés1 000
Télécommunications – 2 projets, 275 Mio EUR
Câbles de télécommunications installés600 km
Débit installé (Go/s)6 000
Agriculture et foresterie – 2 projets, 380 Mio EUR
Terres agricoles bénéficiant d’une meilleure gestion51 000 haAccroissement de la production de riz à l’hectare46 %
Superficie supplémentaire couverte par les réseaux d’irrigation26 500 haÉconomies d’eau dues à la modernisation des systèmes d’irrigation (m3/an)213 000 000
Nombre d’agriculteurs bénéficiant du projet45 000
Nouvelles forêts plantées141 000 haVolumes supplémentaires disponibles de biomasse forestière (m3/ha/an)2,2
Éducation – 2 projets, 120 Mio EUR
Enseignants recevant une formation en compétences numériques50 000
Établissements scolaires disposant de meilleures installations internet1 800
Places créées dans l’enseignement supérieur1 000
Santé – 7 projets, 778 Mio EUR
Établissements sanitaires nouveaux ou rénovés58Patients COVID-19 pris en charge55 700
Équipement et matériel informatique et de communication (TIC) fournis à des établissements sanitaires19,8 Mio EURPersonnes vaccinées280 000 000


Effet direct des projets d’infrastructures sur l’emploiEmplois pendant la construction (années-personnes)Emplois pendant l’exploitation (ETP)
Agriculture, foresterie85 9404 240
Éducation3 100549
Énergie5 898477
Santé400150
Télécommunications21 455540
Transports115 8921 175
Aménagement urbain40 6000
Eau et assainissement75 164601
Total348 4497 732

Résultats attendus des nouvelles opérations dans le secteur privé


Lignes de crédit aux PME et ETI – 34 projets, 3 888 Mio EUR
PMEToutes entités
Total des prêts (en Mio EUR)2 9268543 780
Total des prêts (nombre)227 797296228 093
Montant moyen des prêts (en EUR)12 8432 886 37016 572
Durée moyenne des prêts (en années)6,47,46,6
Emplois préservés dans les entreprises bénéficiaires800 39098 217898 607

* Y compris dix prêts à d’autres bénéficiaires tels que des entreprises de services aux collectivités ou de grandes entreprises.


Réalisations escomptéesRésultats escomptés
Lignes de crédit à des institutions de microfinance – 8 opérations, 246 Mio EUR
Total des prêts (en Mio EUR)1 263Emplois préservés dans les entreprises bénéficiaires1 088 420
Total des prêts (nombre)2 519 127Emplois préservés occupés par des femmes697 310
Montant moyen des prêts (en EUR)501Emplois préservés occupés par des jeunes49 533
Part de femmes parmi les bénéficiaires finals (%)59
Sociétés d’investissement en microfinance – 2 opérations, 13,8 Mio EUR
Taille totale des fonds (Mio EUR)184Prêts accordés à des bénéficiaires finals par les institutions de microfinance soutenues (nombre)67 189
Effet de levier moyen9,5Part de femmes parmi les bénéficiaires finals (%)76
Institutions de microfinance soutenues77
Fonds de participation – 6 opérations, 130 Mio EUR
Taille totale des fonds (en Mio EUR)784Emplois soutenus dans les entreprises bénéficiaires10 249
Entreprises bénéficiaires (nombre)92Emplois nets créés dans les entreprises bénéficiaires7 468
Investissement moyen (en Mio EUR)8,5

Ne figurent pas dans les tableaux ci-dessus cinq projets qui financent la contribution de plusieurs pays africains au capital de l’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique (ACA). En devenant membres de l’ACA, ces pays vont bénéficier des mécanismes de garantie des investissements et des opérations de commerce international proposés par l’Agence afin de stimuler le développement de divers secteurs de l’économie. Deux projets dans les tableaux ci-dessus contribuent à plusieurs secteurs.

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ISBN:
9789286150531
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