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Je la bascule délicatement sur le lit. Nos embrassades ne cessent guère. Mutuellement, nous parcourons nos corps. Enlacés si intiment, je sens ses mamelons durs appuyer contre mon torse.

Comme quelques jours auparavant dans la piscine, je viens faire une légère pression contre son sexe avec le haut de ma cuisse. D'elle même, Eveline se dandine pour faire frotter sa vulve. Même nos baisers ne parviennent plus à étouffer ses premiers râles de plaisir. Elle décide de m'associer encore plus à son plaisir en emprisonnant mon sexe dressé dans sa main. Le contact de sa douce main sur ma queue accroît mon envie d'elle.

Il est temps pour moi de prendre le contrôle des événements. Mes lèvres délaissent ses baisers enivrants pour tracer leur chemin sur ce corps tant désiré, pour s'attarder sur ses tétons durcis. Je les pince délicatement entre mes dents. Je le suce avec envie. Connaissant à présent sa grande sensibilité sur cette partie de son anatomie, je m'y attarde bien volontiers, pendant quelques instants. Résistant même aux pressions qu'exercent ses mains sur mes épaules pour que je descende plus bas.

Bien évidemment je sais ce qu'elle désire. Mais je veux prendre mon temps. Et quand je décide de me rapprocher de sa vulve, je le fais de ma propre initiative. Elle écarte plus largement les jambes quand, après lui avoir retiré sa culotte, ma bouche se pose sur son pubis. Toutefois je veux faire accroître son désir sans en venir directement au vif du sujet. Ainsi, après son pubis, se sont ses cuisses qui sont l'objet de mes baisers. Tout en prenant soin de ne pas entrer en contact avec son sexe.

- S'il te plait! Je n'en peux plus... j'ai besoin de sentir ta langue! me supplie-t-elle.

Elle gémit lorsque ma bouche s'approche de sa chatte. Je souffle doucement sur ses petites lèvres. Son clitoris, parfaitement visible, est tout brillant d'humidité. C'est lui qui reçoit mon premier baiser.

- Hmm... gémit-elle en soulevant son bas-ventre.

Mais je persiste à ne lui adresser que de légers bisous à divers endroits de son sexe. Comme s'il ne s'agissait que de caresses aussi délicates qu'un battement d'aile de papillon. Je sais que ma Eveline endure une douce torture mais je veux la conduire au maximum de l'envie. Je m'aventure jusqu'à son anneau rose, dissimulé entre ses fesses, avant de regagner son sexe.

Tout le corps de mon amoureuse semble ultrasensible. Je crois que je l'ai faite patienter assez longtemps. Elle est en droit de recevoir ce qu'elle attend.

Je lui léche alors la fente de bas en haut, collectant sa mouille délicieusement parfumée et plaquant ma langue aussi profondément que possible. Presque aussitôt, elle appuie son Mont-de-Vénus contre ma bouche. Sa respiration est saccadée. Je sais que l'orgasme est tout proche. Je concentre mon jeu de langue sur son clitoris hyper-réceptif. Une poignée de secondes suffisent avant qu'elle jouisse bruyamment.

Je ne cesse de la lécher. Avec avidité et gourmandise, je me régale de cette cyprine qui ne semble pas vouloir arrêter de ruisseler.

Dès que je sens que les effets de son premier orgasme se sont estompés, je reprend son clitoris entre mes lèvres. Eveline est surprise par la montée d'une nouvelle vague de plaisir intense.

- Oh non!!!! Laisse moi me reposer une minute, mon coeur... m'implore-t-elle, tout en essayant de reprendre son souffle.

Je lui adresse un sourire mi-charmeur mi-diabolique. Je sais que son petit bouton est au comble de sa sensibilité. Chaque effleurement de ma langue la fait encore réagir. Je profite de la situation pour faire pénétrer deux doigts dans son vagin serré et vierge. Je les fais coulisser tout en m'accordant avec les caresses de ma langue. Eveline est de nouveau aux portes de la jouissance.

Je me redresse et avance mon bassin entre ses jambes.

- Tu es prête?

Elle hoche de la tête pour me comprendre que oui. Son visage est rouge. Une fine pellicule de sueur recouvre son front. Son regard magnifique, lui, me touche droit au coeur car, à cet instant, ce n'est pas de la convoitise ou du désir que je vois. Non! C'est de l'amour. L'Amour le plus pur et le plus sincère.

- Je t'aime!

Je ne peux me retenir de lui dire... Puis sans rien dire de plus, et sans quitter ses yeux du regard, je saisis mon sexe d'une main et lui caresse la fente avec mon gland. Eveline se mord la lèvre et se cambre. Il est évident qu'elle n'en peut plus d'attendre.

Je pousse alors l'extrémité de mon engin dans son vagin. Ma chérie halète et son corps se raidit. Avec un de mes pouces, je titille son clitoris afin d'accompagner l'entrée de ma queue. Celle-ci s'insinue entre les parois chaudes et moites. La respiration de Eveline est lourde, ses yeux se sont fermés, comme pour se concentrer sur ses sensations. Je devine son hymen au bout de mon sexe. Je penche mon visage pour m'approcher du sien et lui demande, dans un murmure, de me regarder.

Quand ses yeux s'ouvrent et que son regard plein d'amour croise le mien, je pousse mon sexe en avant pour rompre le voile de sa virginité.

Elle me regarde la bouche grande ouverte. Je m'attend à l'entendre pousser un petit cri de douleur quand son hymen cède. Mais elle garde pour elle cette souffrance passagère.

Mon sexe la pénètre entièrement. J'attend un instant pour que la douleur s'estompe.

- Tu vas bien mon amour?

Une larme coule sur sa joue. Je l'essuie de mes lèvres en l'embrassant.

- Oui, je vais bien, me dit elle. Maintenant fais moi l'amour comme j'ai toujours rêvé que tu me le fasses.

Le défi est de taille, mais je me sens à la hauteur pour le relever. Je pistonne lentement son vagin incroyablement serré. Faisant entrer et sortir mon sexe. Je dois faire preuve d'une grande volonté pour ne pas me laisser aller et jouir en elle rapidement.

Tout en la pénétrant, je continue de lui caresser le clito. La douleur paraît avoir totalement quitter son corps, laissant place à de nouvelles sensations pour elle. Avec des mouvements de hanches, Eveline accompagne même mes coups de reins. J'accélère le rythme. Mon amour gémit de nouveau. De plus en plus fort. Je sais, je sens qu'elle va bientôt être prise d'un nouvel orgasme. Je peux donc me donner entièrement pour jouir avec elle.

Dans les bras l'un de l'autre, nous lachons prise. Nos corps s'unissent dans un torrent de sensations fortes et tendres à la fois.

Les muscles du vagin de Eveline finissent par se contracter. À chacun de mes coups de reins, je cherche à la pénétrer bien plus profondément encore, espérant lui procurer un maximum de plaisir.

Quand elle jouit, mon sexe se retrouve pris comme dans étau, en plus tendre. Son intimité semblant refuser de me libérer. Cela abat mes dernières forces pour me retenir et je répand mon sperme en elle. Un plaisir violent et amoureusement dévastateur.

Combien de fois ma petite amie a joui ce soir? 3 fois? 4? Je ne sais plus. Mais son visage porte les signes d'une grande fatigue. Je me couche à côté d'elle et la prend dans mes bras. Elle se blottit une dernière fois, et m'offre un ultime baiser avant de s'endormir.

Ma nuit est courte. Je la passe à regarder celle que j'aime.

Au matin, nous faisons encore l'amour. Eveline semble ne jamais s'en lasser. Pour mon plus grand bonheur.

Puis vient le moment pour elle de rentrer. Je décide de la raccompagner. Nous trouvons ses parents devant leur maison. Son père passant la tondeuse, sa mère entretenant ses fleurs. Tous deux nous saluent de la main.

Sans en avoir parlé avec ma petite amie auparavant, je lui prend la main et l'attire contre moi pour lui déposer le plus tendre des baisers sur les lèvres. Du coin de l'oeil, je regarde ses parents échanger un regard incrédule.

- Mais... tente de dire ma chérie

Mais de nouveau je l'embrasse, unissant ma langue à la sienne.

- N'oublie pas ce que tu m'as dit hier au sujet de ta mère et de l'exorcisme... Autant t'éviter cette corvée. Les choses sont claires pour tout le monde maintenant.

Eveline éclate de rire. Un rire charmeur. Le rire de ma "presque femme".

Presque normal

Chassés ! ... Comme des rats puant l'égout ... On serait donc contagieux, pesteux, pustuleux, bubonneux ! ... On pourra pourrir, qu'il s'en fout le proprio ... plein de fric ... il doit s'en envoyer des gonzesses, des gourmandes de parfums, de champagne, de godasses, de lingerie transparente, de pognon, de tout ! Nous trois, on a fini par trouver une crèchouille, pour installer nos trois chaises bancales, la table en formica et les matelas moisis, cartographiés à la sueur des nuits d'été, aux branlages et aux ragnagnas.

Trois semaines déjà qu'on est coincés entre des murs lépreux, lézardés, verruqueux ... sous un toit qui pisse ... Et les parents, quand ils en ont marre de se cogner, c'est moi qui prend les baffes. C'est moi aussi, dans les rues glauques, qui doit glaner la bouffetance du jour ... et le picrate pour le vieux con, tout ça payé sur ses allocs d'ancien combattant, baisé jusqu'au trognon par les politicards véreux.

La boulangerie, c'est ma clairière ensoleillée. Y fait bien chaud ! ... Ça sent la pâte qui lève, la brioche, les croissants, tièdes comme l'entrecuisse de la boulangère, fessue ... si viandue qu'on a envie d'en bouffer, la carne ! Bras nus, chair blanche ... la sueur lui coule jusqu'entre les nichons, où pendouille une croix dorée. Les montre bien ses nichons ! ... Chair transparente ... veinés de bleu ... gélatineux, ça fait des vagues quand elle bouge son cul pétassier, quand elle se penche pour la monnaie. Je lui ai raconté nos malheurs ... elle est bonnasse, elle me file discréto des pains au chocolat gratis.

Violetta, la mignonne d'en face, dix ans, mollets ronds, cuissettes soyeuses, cul nu sous sa jupe volage au vent coquin. Elle est pas fufu, je lui file des bonbons pour caresser ses cuisses fraîches ... lui poser dans le cou des bécots baveux ... chaque fois un peu plus haut ma main sous la jupe ... Hier, jusqu'à la fente, toute lisse, toujours un peu pisseuse. Je la chauffe, je la mûris ... sûrement pucelle ! Joli fruit ! Patience !

Dominic, c'est le fils de la boulangère. Une tête de plus que moi ... Y connaît bien le quartier, le gonze ! ... les bas-fonds pourris, les coins à putes, les entrées d'usines fermées, bien sinistres, les cours délabrées que les concierges s'en foutent des trafics louches et cuvent leur pinard. Il m'a emmené au square buissonneux où c'est les mecs qui s'enfilent entre eux. ... J'avais le cœur à 150, des fois qu'y nous auraient surpris à les mater ... D'autres se piquent ... des loques, du déchet social.

Plus loin, une grande maison de riches abandonnée, au fond d'un parc ... un mètre d'orties, de fleurs, des jaunes, les violettes, c'est du poison. On se faufile en poussant la grille rouillée ... Grincements, l'aventure au bout d'une morne rue ! Vitres cassées, des papiers partout, des meubles moisis, des débris de vaisselle ... Des gens y ont mangé ... y sont morts ici ... qui ? Des femmes, baisées, violées ... peut-être. Les murs n'ont gardé que les taches, pas les cris. Un piano ! ... pourri ... On frappe des touches, ça fait fuir un chat. Dominic me montre un canapé défoncé rouge.

-- Si tu veux du fric, c'est l'bon truc !

Comprends pas !

Le mec, il s'assied, bite en l'air, tu lui suces. Tu palpes bien ses couilles, ils adorent ... Pour un bonus, tu lui fouillasses le cul, profond, trois doigts, bien sale ! ... Y reviendra ... sa pétasse lui fait pas tout ça !

J'ai les jambes en coton, les mots bloqués, la gorge nouée.

C'est pas encore l'heure, qu'il poursuit, tentateur, c'est qu'après huit heures que ça commence à défiler ... Des fois y'en a deux ou trois qui matent, en attendant leur tour. On peut l'faire à deux ... Y'a de la place. Tu m'le fais pour t'entraîner ?

Il s'affale, froc baissé, bite au garde à vous, gland décalotté, brillant de désir écarlate. Je gobe, ça bavoche, goût de pisse rance. J'y vais ... je léchouille. « Plus vite ! » J'accélère, ma langue bien tout autour ... surtout pas mordre, sinon grande baffe pour ma poire ! ... Il tient ma tête ... par les cheveux, m'enfonce sur son machin bandé raide. J'étouffe. Giclée puissante et drue. J'absorbe la sauce, il crie. Violent, son plaisir ! ... Ça colle à ma langue, c'est âcre ... gluant. Il me garde sur lui, putain, il est fort le con !... « Lèche bien tout! » Il reprend du souffle.

T'es un as !... Bien mieux qu'une gonzesse ! Ce soir, on l'fait ?

Je suis sonné. Qu'est-il arrivé ?

-- Non !

Demain alors ?

Je réponds rien, on rentre, en silence. Je rêvasse tout haut.

-- Elle est belle ta mère ! ... Et ton père ? je lui demande.

Il s'est barré ... avec une négresse en plus ! Ma mère elle s'embête pas, une vraie putain ! Ses deux ouvriers, y z'arrivent à quatre heures du mat. Quand ça lève, ou bien ça cuit, la fournée, elle propose « Vous montez pour un café ? » Les paye mal, plutôt en nature. Je les ai matés. Tous les jours, c'est pareil ! « Allez, culs nus les gonzes ! » Elle s'affale sur le canapé, écarte en grand ses grosses cuisses blanches, celluliteuses, salive ses doigts, se fouille à fond la grosse touffe noire ... poilue, un buisson, un nid à morpions ! Elle s'astique un bon moment. Les deux mecs bandent à crever. Elle jouit. Elle s'en fout si j'la r'garde. « À vous deux, j'suis chaude. » Ils l'enfilent ... à tour de rôle ... pistonnent sévère, à s'en écraser les couilles. Ça jouit, ça crie, ça m'remue les tripes. Au milieu de son mois, elle fait la chienne, elle présente son cul. « C'est le jour du petit serré! » qu'elle annonce. « Bourrez-moi fort ! Vous êtes pas des lavettes ! » Les gus la fessent rouge en même temps qu'ils ramonent ... à fond la bite.

Je suis raide à l'entendre raconter tout ça !

Le soir, dîner approximatif ... des œufs à la coque, pas bien cuits. Le jaune, c'est comme un gland maladif, et tout autour, c'est glaireux, comme la liqueur du zob de Dominic. Rien d'autre à bouffer. Faudra que j'y aille, à la maison délabrée ! C'est moi qui leur apportera du frichti ! Eux, rien à en tirer ... mes vieux, des larves !

Rêvé de la mère à Dominic. Ses seins ... de la pâte à pain ... souple et farineuse. Je léchais, je pétrissais, je mordais les tétons framboise, du lait coulait à flots, ça inondait tout. Le drap était trempé. Mon père approchait : « T'as encore pissé p'tit con ! » Il voulait me battre, tout nu, bite en avant, pointée sur moi, comme un couteau j'ai pensé. Il approchait, il voulait me crever les yeux. Je suis sorti du cauchemar, raide à péter mon gland. Je me suis branlé. Ma mère s'est éveillée :

-- Hugo, tu es malade ?

-- Non maman, c'est juste un mauvais rêve.

J'étais trempé de sueur. Je frissonnais ... un sale petit vent, les fenêtres sont nazes.

Le collège est crade comme tout le quartier. Odeur de chiottes, partout ! ... les peintures des plafonds décollent en plaques ... chiures de mouches ... aux murs, des traces de dessins obscènes mal effacés. Des doigts merdeux s'y sont frottés. Tous des gosses de pauvres ... que des garçons. On parle de cul ... où trouver des baisables, des pas cher.

Après le sport, au vestiaire, ça pue la sueur, les pieds, le rance, la pisse. Ça saisit la gorge, et ça m'excite. On joue à flaire-mon-cul : on se choppe un petit, on le ceinture à deux ou trois, je m'enfonce deux doigts dans le fion, et je lui fait lécher, bien profond dans la gorge ! Souvent, il dégueule. On compare nos bites, on se les branle. Le sol est tout glissant, une vraie patinoire. Ballochard, le prof de sport, ça l'amuse ! Il bande ... ça se voit sous son short en soie brillante. Il aime bien montrer ses cuisses ... de beaux muscles efficaces qui jouent, qui s'enveloppent, comme ceux des statues en marbre blanc dans le bouquin d'Histoire. Poilues, bronzées ses cuisses, les gonzesses, elles doivent juter dans leurs culottes. ... Ses cuisses, il leur montre au parc, en cavalant pour rien ! La fesse nue d'un gamin à sa portée ... pan et clac ! pas fort, c'est gentil, on s'attendait à plus vicieux, tout le monde rigole.

Dominic, il insiste.

-- Tu viens avec moi pomper les mecs ?

-- Non, j'ai la trouille.

-- Tu sais, j'me fais chaque fois un bon paquet d'bifetons. Et après, j'vais aux putes.

On aimait traînasser au Passage Gonaud, mater les nichons qui débordent, et les bas troués ... elles ont dû baiser sévère ! De grosses lèvres rouges, des dents de tigresses, prêtes à vous dévorer la langue, la bite, tout quoi ! Sûr que ça vaut quelques sous de se faire vider des couilles par une! Toujours le cœur battant au Passage ... et les jambes molles. Qu'il est étroit le Passage, c'est exprès ... forcément on les frôle, elles se frottent aux mecs, elles rient gras, elles remontent encore un peu leurs jupes déjà courtes, serrées sur leurs grosses fesses. Ça leur plaît qu'on reluque leur viande ... elles fumassent. Leurs parfums violents, ça grise ... Ça sent l'aventure ... juste au fond d'une cour, surtout la première fois, ça fait du souvenir!

On est pas seuls, des types passent et repassent devant les putes. Est-ce-qu'ils vont en choisir une ? Ils recomptent leur fric dans leurs poches. Ou bien c'est juste une petite émotion gratis ? Certains rigolent avec les filles, des habitués. D'autres font tête basse, rasent les murs, comme si leurs bobonnes les espionnaient. Les filles les bousculent. « Chéri? T'es tout vide ? Non ? Alors monte ! J'suis toute chaude pour toi ! J'te f'rai tout ! »

Marinette, une fanée, plus rien à perdre. Elle montre ses nichons qui pendouillent comme des outres à moitié vides. Gros tétons rosâtres. Un type les tripote, les soupèse, timide. Elle s'en amuse. Au vu de sa chair flétrie, il doit penser au reste, des cuisses fadasses, chagatte à l'avenant. Elle l'entraîne, « Viens mon chou ! » ... Il se laisse pousser dans un escalier sombre. Ils disparaissent.

Une mignonne petite café-au-lait toute frêle me tire à elle ... Parfum cannelle ... peau veloutée ... un baiser sur ma joue, elle cherche mes lèvres ... Dix-sept ans, au plus, j'en ai quatorze ! Amoureux, d'entrée ! ... Percé jusques au fond du cœur (pas du cul, comme les pédés du square)! Des yeux noisette, des gentils seins tout gamins qui s'agitent sous sa blousette aux couleurs créoles. ... J'aperçois ses tétons chocolat. Raide que je suis ! Sa coquine main me cherche, futée, elle me tâtouille la bite. Dans ma poitrine, ça palpite, comme si un lion me poursuivait ... et les jambes en coton, comme dans ces rêves où on n'arrive pas à courir. Elle murmure à mon oreille :

Gros lapin, tu viens ! T'es chaud, tu vas pas t'nir ! Première fois, c'pas ? Moi c'est Zoé. Et toi ?

Hugo (j'ai quand même réussi à sortir mon nom).

Pas cher (qu'elle dit très bas, pour que les autres entendent pas).

Pas d'fric !

Si j'te l'fais gratis, mon Julot, y'm'cognerait ! Regarde ça!

Elle montre sa cuisse, un gros bleu violacé, et des traces de coups de ceinture. Je lui caresse la cicatrice. Belle cuisse mince, peau soyeuse. Elle frémit sous ma caresse, elle soupire.

-- Je reviendrai, avec du pognon !

-- Zoé, tu t'rappelleras ? J'y suis tous les jours ! Tu m'attendras si j'suis montée.

Sûr que j'irai, ... mais d'abord au canapé de la bicoque ... pour Zoé. Je le vois déjà, rougeâtre, il grince ... Tout avaler, comme avec Dominic ! Pour Zoé !

Dominic me laissait méditer, sûr de son coup.

-- Tes parents, ils baisent comment ? qu'il me demande.

-- Ils s'engueulent d'abord. Ça pleut des baffes, des claques, des assiettes volent ! ... Ça crie, les voisins entendent ! Quand ma mère crie grâce, il la saute, le sale bouc. Ça dure ! J'entends à côté, le lit grince à mort, bon à s'écrouler ! Elle gémit, je sais pas trop si elle pleure ou elle jouit. Lui, le connard, il souffle, un vrai phoque de zoo, comme s'il allait crever. Le vin, ça le maintient. Dans la famille, on s'en méfie, on raconte qu'il a dépucelé deux nièces. Si j'avais une sœur, elle y serait passée !

On l'appelait Choupette, un blondin de ma classe, on lui parlait comme à une gonzesse. Il avait des beaux seins de fille qui lui poussaient, on lui maniait sa jolie petite viande, on lui pinçait les tétons.

-- Choupette, ils ont encore poussé tes nichons !

-- Non, c'est pas vrai ! Et puis c'est pas ma faute, c'est mormonal.

Justement, Hugo va te la mormoner grandiose ! Cul nu, tout de suite !

Il veut résister. On lui baisse le froc. Je branle sa zigounette, je lui pressure les roustignolles, des noisettes minables ! J'y vais pas mollo, qu'on me prenne pas pour une pédouze. C'est pas parce qu'avec Dominic ... Sur le canapé rouge, c'est pour Zoé que ce sera !

Le grand Simon va te cularder ... comme l'autre jour, à sec !

Faut dire que Choupette, elle était pas pucelle du fion ! J'ai serré son gland, bien violacé qu'elle en pleurnichait. Il a fini par baver blanchâtre, son glandouillet. J'ai essuyé ma main dans ses cheveux. La Choupette, elle a couru en chaussettes, fesses nues et bite au vent, pour tenter de récupérer son slip et son pantalon. Ballochard, s'est bien marré, en sonnant la cloche.

Pepita, la femme de ménage, au collège, c'est une toute jeune. Elle parle pas bien le français. À trois quatre, on se la choppe, on la fout par terre, on lui tire la culotte et on lui fouillasse la chatte, bien vachement. Elle crie, on rigole, des fois elle pisse, comme si ça lui plaisait pas qu'on s'occupe d'elle !

Si tu racontes ça, t'auras ton balai dans ce trou-là, bien à fond !

Les fortes paroles, y a pas à dire, ça calme !

Rue du Sergent Destouches, mes premières suçades ! Pour Zoé ! Un type tout poilu. Il m'a coincé la tête pour que j'avale tout. J'ai failli dégueuler. « C'est l'métier qui rentre, en force ! » qu'il a dit Dominic. C'est lui qui récupère le fric, il m'en donne la moitié, mais ça aide à nourrir mes vieux schnoques de parents. Un autre a demandé que je sois tout nu, il a sorti un billet de plus. « Il est trop mignon. Avec ses p'tites couilles sans un poil. Il bande bien en plus. » J'étais rouge. « Combien pour le papaouter ? » « Rien ! » j'ai crié, je voulais pas finir comme Choupette ! « Il est tout jeune, faut qu'il mûrisse ! Plus tard, on en reparlera. » Dominic, ce malin, voulait faire monter le prix de mon cul !

Un autre était surveillé par sa connasse de bonne femme. Une bourge, bien sapée. Tailleur gris perle, bas noirs. Des gants assortis. Elle tournait en rond, ses talons claquaient, nerveux, sur le plancher pourri. Ça nous gênait. « Je vais pisser », elle est sortie au jardin. Ça nous a calmés, j'ai fini le type en vitesse.

Au retour, j'ai montré un petit billet à Violetta. Elle a tout de suite retroussé sa jupe. « C'est pour me tripoter, hein ? » Pour du fric, elles les écartent, toutes, pucelles, grenouilleuses ou saintes-nitouches. J'ai entrouvert ses mignonnes petites lèvres, pas un poil ! Et frotté son bouton minuscule. Elle a bien aimé, les billets surtout ! Elle va pas rester longtemps pucelle !

Au collège, grande émotion et chuchotements. Une bécasse de dix-neuf ans a été violée ... à quatre qu'ils étaient, du collège, des pas plus de quinze ans ! La honte sur elle! Pucelle, catho sérieuse ... une famille de cons. Elle se réservait pour un mec, après bénédiction par un curé quelconque. Trop tard, son mec n'en veut plus ... foutue, flétrie, déshonorée, bonne pour le couvent ! Peut-être même qu'elle est déjà en cloque ! Dans un couvent, ça fait désordre !

Jérôme, il en était. Tous autour, on l'écoute, envieux, mais pénards, rapport aux flics. Pas lui. On dira rien ! Il parle bas.

On s'l'a foutue sur un banc, au square des pédés. Jupe troussée. Deux lui t'naient les cuisses, grand écart. Culotte arrachée, on la lui fourre dans la gueule, pour qu'elle rameute pas. Pierrot lui bloque les bras. Elle couine dans sa culotte. J'lui écarte les lèvres, comme on ouvre une pêche, des poils blonds, pas beaucoup. Plus elle tortille des fesses et plus on bande. J'la plante, ça résiste un peu, j'y vais franco. Des cris. J'pistonne ... Bon Dieu, qu'elle ait son compte ! ... Étroite ! Ça j'vous l'conseille, un con d'pucelle, ... c'est grandiose. Des larmes, bien sûr ! J'envoie la purée. Ça coule blanchâtre avec du sang, tout rose, comme un bonbon à la fraise. Elle se débat, mais on la tient. Les gifles, ça l'a calmée ! Elle a compris qu'elle a pas été trouée pour du beurre. Pierrot prend la suite. Il est gentil lui, i's'couche sur elle pour l'embrasser, e'veut l'mordre. Salope ! Nouvelles baffes. Il crie en giclant, bien à fond qu'il en profite ... dément le gonze ! Paul et Julien, pareil ! On lui essuie la fente ... avec sa culotte. On se l'a coupée en quatre la culotte, les morceaux rougis, on les garde ... des trophées.

-- Et si elle dénonce ?

Si elle donne, qu'on lui a dit, on la f'ra couvrir par un chien ! Cette conne, elle a raconté, mais elle a dit qu'elle avait pas vu les visages, qu'y f'zait noir ! Le chien, ça l'a mouronnée !

Avec Zoé, ma douce métisse caramel, ça sera pas comme ça ! On se fera des vraies caresses d'amoureux, des bien tendres, on se léchera le ventre, les cuisses, les fesses. Toute la nuit ! Mais son Julot pourra nous emmerder ! Faudra jouer finaud.

J'ai dans ma poche quelques biftons. Pour Zoé. Tout chaud des joues, je poulope au Passage. Beaucoup de viande à l'étalage, et de la pas fraîche, mais pas Zoé. On me dit que son Julot l'a emmenée à Marseille, dans un rade bien glauque où son p'tit cul payera plus. L'horreur ! ... Les voilà cinq après moi, à sortir leurs gros nichons, parfumés à tuer les mouches à trois kilomètres. Je tâte mes billets, bien au fond de ma poche. Je me laisse embarquer par une qui ressemble à la boulangère. Grands ongles rouges et gros bijoux clinquants. Elle a peut-être déjà sucé Dominic, que je me dis en montant derrière elle. L'escalier grince, ça sent le chou et l'eau de vaisselle. Peu de lumière, mais devant mon nez, ses fesses valsouillent. Elle est brune.

Et bien poussin, c'est gentil chez moi ! T'as pas trop l'habitude ?

La bite rude ?

J'avais pas compris, elle a un accent bizarre. Elle éclate d'un grand rire, et moi aussi, avec elle ! À poil qu'elle se fout en cinq secondes, me déloque, pique au passage quelques billets dans ma poche et me pousse au lavabo pour me rincer la bite. Faut dire qu'elle sentait le rance pisseux, mes branlées d'une semaine ! ... Je suis plutôt mou ! Elle me la savonne, et les roustons, et le doigt au trou. Ça vient ! Elle me pousse au pieu. Elle étale sa moule, rosâtre , et luisante au milieu des poils noirs. Y mettre la main ? Non ! elle me la repousse, la dirige sur ses nichons, faut dire qu'il y a de quoi s'occuper ! « T'en as une bien jolie mon poussin ! ... J'vais t'la bouffer ! » Elle me léchouille, me la manœuvre à la va-vite. Elle s'étale sur le dos, cuisses écartées. Les nichons s'écroulent, chacun d'un côté. « J'suis chaude ! ... Tu m'enfiles. » Elle me la dirige, c'est chaud, ça glisse bien ! Son ventre me la bouffe. Âcre odeur d'aisselles, ça m'excite ! et son souffle dans mon cou ... des relents de bière et de tabac. Malgré ça, je cherche à baisoter ses lèvres, c'est encore non ! Ma Zoé, où est-elle ? On se boufferait nos langues ! À fond dans le beurre, mon zob accélère ... Chaud dans la tête ! C'est parti, son ventre m'a sucé ma liqueur. Elle se lève aussi sec (si on peut dire), fonce à la cuvette, par terre, elle y trempe vaguement sa touffe noire, fendue rose ... comme si je l'avais salie. C'est fini. Elle remet un soutien-gorge crasseux, une robe courte sur ses fesses nues. « Et bien, poussin? T'attends le déluge pour te r'saper ? » Vague bisou expédié. Ce n'était pas l'infini, même pour un caniche ! Redescendre ... les marches grincent encore, nargueuses. C'était mieux à la montée. Les filles rigolent « Déjà ! » qu'elles se moquent, sales pétasses !

Tous on aimait bien l'infirmière, Madame Lambercier. Pour ses gros lolos valseurs, vaguement coincés dans un soutif noir, sous sa blouse transparente. En soignant nos bobos, elle les agitaient ses nichons ... ça l'amusait de nous voir bander pour elle. « T'es vif toi » qu'elle disait, en nous caressant les cuisses. Et elle nous congédiait avec un gros bisou appuyé sur le front, bien maternel ... comme à regret de n'avoir pas plus saignant à désinfecter.

Elle était chargée aussi d'administrer les punitions. En fin d'après-midi, elle faisait le tour des classes, en tailleur gris, comme pour la messe. On lui nommait les punis du jour. Ils devaient baisser eux-mêmes leurs culottes et dire pourquoi ils avaient mérité d'être punis. La première fois que j'ai été puni, on étaient deux.

Avec mon copain Marc, on avait été surpris avec des photos de filles nues, chattes rasées, qui se pissaient sur leurs jolies petites gueules de putes et se léchaient les moules, et les trou-duq ... Putain ! la langue en plein dedans, profond, dans la merde! Une autre, ligotée, cuisses écartées, elle était préparée pour un chouette viol bien facile. Je branlais Marc ...

Madame Lambercier, elle a d'abord claqué Marc de toutes ses forces, et j'attendais mon tour. Plus ses fesses rougissaient, et plus je raidissais ... devant la classe, palpitante, impatiente de claques plus fortes. Les murmures encourageaient la rouste. Ses seins gigotaient sous son chemisier. J'aurais voulu pas trop bander, mais c'était plus fort. Mon cœur cognait plus et tant à chaque nouvelle claque. Ça l'excitait la Madame de frapper, et de me voir triquer. Elle devait bien juter de la moule.

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190 стр. 1 иллюстрация
ISBN:
9783752934908
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Правообладатель:
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